mercredi 21 décembre 2016

Un budget 2017 marqué du sceau de la mobilisation et de l'engagement de Dijon en faveur du développement économique, de la solidarité, de la tranquillité publique et du vivre-ensemble

Lundi soir le conseil municipal de Dijon s'est réuni pour voter son budget primitif pour l'année 2017.
Ce budget n'est pas ordinaire car il est marqué du sceau de la mobilisation et de l'engagement de notre ville en faveur du développement économique et de l'emploi, de la solidarité, de la tranquillité publique et du vivre-ensemble.
Ce budget n'est pas ordinaire non plus car, contrairement à d'autres collectivités qui réduisent leurs investissements, nous maintenons un niveau important d'investissement avec une exigence de bonne gestion budgétaire.
Ce budget réaffirme la priorité accordée au respect de la tranquillité dans notre ville, à l'heure où cette problématique a pris une importance particulière au cours de l'année écoulée :
- recrutement de 30 policiers supplémentaires,
- achat de pistolets à impulsion électrique,
- mise en place de la procédure du "Rappel à l'ordre" en lien avec le développement du service médiation.

Prévention, médiation, protection, dissuasion, sanction : l'amélioration et le respect du cadre de vie, c'est une affaire complexe et collective dans laquelle chacun a son rôle, mairie, police, justice.
Ce budget est donc un budget de mobilisation et de préservation de la tranquillité publique et du vivre-ensemble.

mercredi 14 décembre 2016

Tribune du mois de décembre du groupe PS, PRG citoyens et apparentés du conseil municipal de Dijon



En 2017 se tiendront les élections présidentielles et législatives. Aussi, ce mois de décembre est la dernière ligne droite pour s’inscrire sur les listes électorales, pouvoir voter et être en contact direct avec le processus politique. Par cet acte, nous pouvons choisir nos dirigeants, celles et ceux qui partagent nos opinions ou qui savent nous inspirer. Plus qu’un devoir, le droit de vote, progrès social gagné de chaude lutte, est une exigence morale, notamment du fait que dans certains pays, pourtant considérés comme de grandes puissances mondiales, ce droit est tronqué voire inexistant. Si le droit de vote n’est pas un des droits de l’Homme, il est le droit de défendre tous ses droits. Il est un moyen de garantir que l'état remplit sa fonction, conformément à sa finalité. En outre, il permet d’assurer que les autres droits positifs, les lois, sont bien conformes à leur finalité de faire respecter nos droits fondamentaux. Autrement dit, le droit de vote est un moyen de s’assurer que le législateur fait bien son travail, qu’il met en place les bonnes procédures, les bonnes lois, pour réaliser la sûreté, l’égalité, la liberté et l’indépendance. Un moyen de limiter l’abus du pouvoir. Par le droit de vote et via le suffrage universel direct, chacun devient en quelque sorte un co-législateur. En désignant les élus locaux et nationaux, les citoyens se comportent « comme si » ils étaient législateurs. Mais voter peut aussi, parfois, dans certaines circonstances, être une arme pour éviter le pire. Or, ne pas être inscrit signifie à coup sûr de ne pas pouvoir voter et laisser d’autres décider pour soi. Ainsi, pour promouvoir l'égalité et encourager le plus grand nombre à participer à la vie citoyenne, l’inscription en ligne sur les listes électorales est une démarche simple et gratuite. En s’inscrivant puis en votant, chaque citoyen participe alors à un processus qui peut, le cas échéant, le mener vers d'autres formes d'engagement, comme par exemple œuvrer pour un parti politique, voire même se présenter à une élection.

mardi 22 novembre 2016

Tribune du mois de novembre du groupe PS, PRG et Apparentés

Cent trois ans ans après sa création, l’ancienne BA102, sitôt dissoute, a cédé la place à une école de gendarmerie nationale qui s’apprête à accueillir ses premiers élèves. La défense nationale a réalisé des travaux de remise aux normes des bâtiments peu avant l’arrivée du CSFA pour la somme de 24M€ : 800 chambres, restaurants collectifs, salles de formations, bureaux administratifs, salles de sport, stand de tir, réseaux, etc. La gendarmerie a pour sa part réalisé des salles de cours ainsi qu’un amphithéâtre dans l’ancien cinéma. Un établissement qui se voudra par ailleurs exemplaire quant aux nouvelles technologies. L’opération totale liée à l’école de Dijon porte ainsi sur 270 ha, pour un coût total de plus de 28M€ versés par l’Etat. Cette reconversion dans un délai record, répond au projet, attentes et objectifs du contrat de redynamisation du site de défense (CRSD), qui prévoit le maintien et le développement de l’aéroport reposant sur la réorientation de l’activité en expansion autour des vols d’affaires et privés, notre attrait touristique se faisant toujours plus important, et le développement économique du site de l’aéroport qui accueillera une quinzaine d’entreprises bénéficiant d’aides à l’installation et de moyens renforcés. La France compte aujourd’hui vingt-deux écoles et centres de formation des gendarmes, dont sept écoles de sous-officiers, de gendarmes adjoints volontaires et d’officiers, et cette école, la huitième en France, permettra à notre pays de passer de quarante-deux à quarante-cinq compagnies d’ici 2017. Si l’école devait initialement héberger 480 élèves-gendarmes, elle en prévoit désormais 720 auxquels s’ajoutent 190 personnels d’encadrement et de soutien. Elle s’étalera en outre sur une superficie de 150 hectares, à cheval sur les communes d’Ouges, Neuilly-lès-Dijon et Longvic. L’arrivée de ces centaines d’élèves-gendarmes, formateurs et encadrants devrait donc logiquement renforcer notre sécurité face aux menaces et encourager le rayonnement de Dijon et de sa Communauté urbaine par le biais de retombées positives sur notre économie locale.

lundi 3 octobre 2016

Tribune du mois d'octobre

Dans cette époque complexe, nous sommes devant un défi colossal, celui de la société de la connaissance. Aussi, l’École doit plus que jamais donner à chacune et à chacun d'entre nos enfants, la possibilité de ne pas subir le futur, mais de s'en emparer, et de le construire. C’est en ce sens que les 10.200 élèves de maternelle et de primaire ont fait leur rentrée au sein des écoles dijonnaises. Ce chiffre en progression traduit l’augmentation du nombre d’habitants de notre ville. Cette année à par ailleurs enregistré 20 ouvertures de classes pour 12 fermetures. A la suite des attentats, des mesures ont été prises et des exercices d’évacuation et de confinement effectués. D’ici la fin du trimestre, chacune des 78 écoles seront équipées de visiophones, pour un investissement de 500.000 euros, tandis qu’à cette heure 70% en sont déjà pourvues. En complémentarité, la politique d’amélioration du patrimoine scolaire dijonnais continue avec de nombreuses opérations de travaux dans les écoles. Enfin, dans un esprit de solidarité, le dispositif de tarification progressive de la restauration scolaire en fonction du revenu des familles est maintenu pour une meilleure équité entre tous. L’École est encore un des lieux où l’égalité garde tout son sens et c’est dans cette optique que travaille la municipalité. Nombre des actions portées par la ville en matière de réussite éducative vont dans ce sens. A travers ces mesures, nous assurons à nos élèves qu'ils n'auront pas un destin à subir, mais un avenir à construire. Lieu d’apprentissage, l'École est un espace de liberté, de tolérance et de partage. Elle doit favoriser l’épanouissement et l’émancipation de chaque enfant. En outre, à l'heure où quelques 27.800 étudiants font leur rentrée, Dijon poursuit sa mutation en ville universitaire de premier plan et conforte ainsi son rang de métropole régionale d'envergure internationale avec des retombées positives en termes d'emplois, de dynamisme et d'attractivité.

mardi 12 juillet 2016

La lutte contre l’exclusion est essentielle.

La lutte contre l’exclusion est essentielle à Dijon. La réforme du financement de l’insertion (entrée en vigueur en 2014 sous l’impulsion de François Rebsamen) avait pour objet de conforter le secteur par l’activité économique en simplifiant l’architecture du financement ; et ce, afin de valoriser la mission d’insertion pour une meilleure efficacité. Or, cela ne doit pas nous conduire à se concentrer uniquement sur le suivi quantitatif mais bien sur le parcours des salariés en insertion. A Dijon, le dispositif des clauses d'insertion permet de réserver une partie des heures réalisées dans le cadre d'un marché public à des personnes rencontrant des difficultés dans leur insertion professionnelle. La Ville et l’Agglomération ont ainsi eu recours à cette clause sociale dans les principales opérations d'aménagement et de construction de l'agglomération depuis 2003. Pour que ce dispositif perdure et continue de générer de l'activité salariée pour les personnes en difficulté d'insertion, une convention a été signée le 1er mars 2012 entre la Maison de l'Emploi et la Formation du bassin dijonnais (MDEF, travaillant à la diversification des clauses et au regard des besoins en compétences des entreprises), les organismes d'habitat à loyer modéré, la SEMAAD et la SPLAAD. Ce partenariat a été conclu pour que le recours à la clause sociale se systématise dans l'ensemble des opérations concernant ces organismes. En 2015, plus d’une centaine d’entreprises furent mobilisées pour plus de 150 opérations menées et plus de 200.000 heures d’insertion. En outre, le PLIE (Plan Local pour l'Insertion et l'emploi), qui propose un accompagnement individualisé et renforcé des publics, poursuit un objectif clairement identifié d’accès à l’emploi durable de personnes exclues du monde du travail. Enfin, les points relais proposent une offre de services partenariale et de proximité. Pour faire reculer le chômage et en maîtriser les conséquences, la municipalité possède un cap, une ligne, des instruments et des partenaires.

samedi 9 juillet 2016

« Parce que nous sommes sensibles aux conditions de travail des agents contractuels, la ville de Dijon continue et continuera à fournir des efforts pour lutter contre l’emploi précaire »

Communiqué de presse de Nathalie Koenders, Première Adjointe au Maire de Dijon


Hier, jeudi 7 juillet, par voie de presse, François Sauvadet, président du conseil départemental de la Côte- d’Or, député de la Côte-d’Or et conseiller régional de Bourgogne-Franche-Comté, dispensait un rappel à la loi de « résorption de la précarité dans la fonction publique ».
La ville de Dijon s’est saisie de manière très volontariste de la loi du 12 mars 2012, en offrant la possibilité à tous les agents remplissant les conditions de pouvoir sortir de la précarité contractuelle.
Parce que nous sommes sensibles aux conditions de travail des agents contractuels, la ville de Dijon continue et continuera à fournir des efforts pour lutter contre l’emploi précaire, en partenariat avec les organisations syndicales représentant les personnels.

Ainsi, 50 agents de la Ville et 18 du centre communal d’action sociale ont pu bénéficier de contrats de travail à durée indéterminée (CDI). En outre, pour les agents répondant aux conditions prévues par la loi et ses décrets d’application, 37 postes furent ouverts en vue d’une titularisation dès 2012 alors que la réglementation que M. Sauvadet avait fait adopter prévoyait une possibilité d'étalement sur quatre ans, soit jusqu’au 12 mars 2016.

La ville de Dijon n'a donc aucune leçon de vertu à recevoir de la part du président du conseil départemental de la Côte-d’Or. L’usage de contrats de travail à durée déterminée pour répondre à des besoins temporaires est pleinement conforme à la loi. Répondant de fait aux exigences et aux missions assumées par la collectivité, comme à l’accroissement non prévisible des tâches de travail, avec notamment le doublement des inscriptions dans les restaurants scolaires ou encore les modifications dans les rythmes scolaires. Cela sans compter les emplois étudiants et saisonniers, les contrats d’apprentissage, ceux relatifs au service civique et les emplois d’avenir que le département refuse de mettre en œuvre.

Je rappelle enfin qu’en 2001, François Rebsamen, maire de Dijon et président du Grand Dijon, avait lancé une grande vague de déprécarisation au sein de la ville de Dijon en titularisant 800 emplois précaires laissés par son prédécesseur et qu'actuellement une soixantaine d'agents est en voie de titularisation. Il y a, en politique, ceux qui parlent, qui promettent et qui gesticulent, et ceux qui agissent et qui tiennent leurs engagements.

mardi 7 juin 2016

Tribune de notre groupe sur "Dijon, ville sportive "dans le Dijon Mag du mois de juin 2016


Le DFCO a couronné une saison 2015-2016 exceptionnelle tant sportivement qu’humainement, consacrée par une accession en ligue 1 pour la saison prochaine. La municipalité s’associe aux supporters pour féliciter et remercier l’ensemble des joueurs, l’entraîneur, l’équipe technique et les dirigeants pour le spectacle et la joie procurés lors de cet exercice. Ce résultat et l’acc...ession du DFCO parmi l’élite du football national démontre que Dijon tient son rang de 7ème ville sportive française, d’après le classement hebdomadaire du championnat des villes de sports collectifs réalisé par le quotidien L’équipe, et même la première ville sportive si l’on se rapporte au nombre d’habitants. La performance de notre ville, comme celle du DFCO, témoigne de l’engagement de la ville de Dijon et de la Communauté urbaine du Grand Dijon en faveur du sport. En outre, nous saluons le travail des associations, clubs amateurs, dirigeants, éducateurs et bénévoles, comme des agents du service des sports, engagés au service de l’intérêt général. Malgré un contexte financier difficile, dans un temps où chacun s’accorde à penser que la réduction des déficits publics doit être une priorité, la ville de Dijon et ses clubs professionnels et amateurs ont prouvé la grande capacité d’adaptation des différents acteurs du monde sportif à s’accommoder d’une situation inédite. Les engagements relatifs à la construction d’une nouvelle tribune Est seront tenus, portant la capacité du stade Gaston Gérard à près de 20.00 places, pour le plus grands plaisir des supporters et amateurs de football et ce sans jamais remettre en question le budget alloué pour l’ensemble de clubs professionnels. Ce chantier d’envergure, qui mobilisera 22 entreprises locales, sera source d’emplois pour notre ville. Enfin, les retombés économiques pour la ville seront également au rendez-vous, notamment dans le domaine de la restauration et de l’hôtellerie, et cela au profit du rayonnement et de l’attractivité de Dijon.

mercredi 18 mai 2016

Tribune de notre groupe sur la culture dans le Dijon Mag du mois de mai 2016


Hier considérée comme « belle mais endormie », Dijon a su faire oublier cette image.
Preuve en est sur le plan culturel, le formidable élan des associations et établissements, alors même que les temps financiers sont très difficiles.
De mai jusqu’à la fin de l’été avec le grand concert de rentrée, cette dynamique ne faiblit pas. La culture vient à votre rencontre, les spectacles investis...sent l’espace public et font vivre notre patrimoine. Pour clore sa saison en beauté, le Centre Dramatique National (CDN) nous offre un « Théâtre en Mai » riche et surprenant qui établit ses quartiers du parvis St Jean à la bourse du travail en passant par la Minoterie. Ce rendez-vous incontournable du printemps dijonnais, reconnu dans le paysage théâtral français et international, nous propose un avant goût très convivial du festival d’Avignon. La belle saison c’est aussi, à la fin mai, Djazz dans la ville, puis plus tard au Jardin ou à la Plage ou encore les rencontres littéraires Clameur(s) qui fêteront leur 4ème anniversaire en juin. L’été à Dijon, c’est « Garçon la note », le théâtre hors les murs, les lectures aux jardins, les concerts et les brunchs créatifs aux Halles, c’est tout ce que nous aurons inventé avec nos partenaires pour vous toutes et tous. Sans oublier les rendez-vous des grandes fêtes populaires que sont Jours de fête à Fontaine d’Ouche ou encore Grésilles en fêtes qui associent les savoirs faire des habitants, des associations et des professionnels pour des moments d’agitation artistique ouverts à tous. Et puis fin août, nous pourrons découvrir des fêtes de la vigne nouvelle formule ! Le temps libre des congés, c’est également l’occasion d’offrir à chacun la possibilité de pratiquer une activité sportive ou culturelle à travers le dispositif « vacances pour ceux qui restent » En engageant aujourd’hui près d’un quart du budget d’investissement et de fonctionnement pour la culture, Dijon démontre une fois encore que la démocratisation de l’accès à l’art, à la création, à la pratique artistique fait partie de ses priorités.

mardi 22 mars 2016

Intervention à l'occasion du vote du budget pour 2016

Monsieur le Maire,
mes chers collègues,

Le vote du budget est un moment particulièrement important car c'est au travers des décisions budgétaires que se dessinent les choix politiques de la municipalité. 

Or, malgré le contexte difficile que vous connaissez, (comme cela a été souligné, la situation générale des finances publiques impose à l'Etat et aux collectivités territoriales de faire des choix ; nous sommes d'ailleurs tous d'accord pour redresser les comptes publics de notre pays, personne ne peut le nier), malgré ce contexte budgétaire contraint, le sens de l’intérêt général et la volonté de ne pas compromette les générations futures, nous commande d’agir.

La période actuelle ne demande pas seulement de notre part une grande capacité de maîtrise. Elle demande aussi du courage et une grande responsabilité collective. Elle demande de ne pas perdre de vue ce qui fonde notre engagement : améliorer la vie des Dijonnais, être présent à leurs côtés, au quotidien, dans tous les quartiers de la ville, les entendre, les comprendre, et ensemble préparer l'avenir.


Et je souhaite ici relever le sens des responsabilités de l’équipe municipale. Comme celui de l’ensemble des agents de la ville, qui n’ont de cesse d’œuvrer chaque jour au bien vivre des habitants.


En effet, Monsieur le Maire, mes chers collègues, plutôt que de nous résigner (ou de maugréer comme nos collègues de l'opposition), nous choisissons de défendre sans relâche cet idéal que nous portons en commun : le service désintéressé de l'intérêt général. Porteur des valeurs qui sont les nôtres, de continuité et de disponibilité. Et d'égal accès à tous les citoyens.


Car nous le savons bien, les services publics et les services au public sont indispensables à la cohésion sociale. Et à Dijon, nous faisons le choix de ne pas sacrifier l’intérêt général. Quand bien même tout le monde s’accorde à penser que pour notre collectivité, comme pour tant d’autres, la dureté des temps financiers est sans précédent.


Nous ne nous défausserons pas !

 
 

Nous continuerons à conduire le programme pour lequel les habitants ont choisi de nous faire confiance. Et à la faveur d’une parenthèse fiscale, que nous assumons, nous maintiendrons élevé le niveau de nos investissements, sans recours à l'emprunt et tout en poursuivant notre désendettement, afin de soutenir l'économie locale et l'emploi :
- Pour le rayonnement culturel et touristique de Dijon avec notamment la dernière tranche de rénovation du MBA, l'aménagement d'artistes au sein de la Halle 038 de l'Ecoquartier Heudemet et la rénovation-extension de la scènes de musiques actuelles de la Vapeur ;
 
- Pour la réussite éducative avec la poursuite de la rénovation des écoles, le maintien d'une offre de garde dense et de la tarification progressive de la restauration scolaire ;
 
- Pour le développement durable et la maîtrise des consommations énergétiques du patrimoine municipal ;
 
- Ou encore pour la poursuite de l'aménagement urbain durable via des engagements financiers concrets dans les quartiers pour la sécurité et la propreté.

Ambition, proximité et mesure, voilà ce que consacre notre budget pour 2016 !

La qualité des services, le soutien à l’économie locale et à l’emploi, la préservation des grands équilibres financiers, telles sont les garanties que nous apportons aux habitants à travers cet exercice budgétaire.

Cet exercice qui confirme notre volonté de faire face aux défis d’aujourd’hui, et d’être au rendez-vous de demain.

Enfin et parce que ce budget reste dans la vision de notre programme municipal et ce tandis que les politiques publiques connaissent des évolutions fortes, c’est tout naturellement que notre groupe politique soutient et votera ce budget pour 2016.

Je vous remercie de votre attention.
 


lundi 14 mars 2016

Tribune de notre groupe sur le Dijon Mag du mois de mars 2016


Début janvier, Le Monde consacrait une double page aux difficultés que connaissent en France les commerces des centres-villes. Cette étude relevait sans ambigüité que, dans le Grand-Est, seules les villes de Strasbourg et Dijon étaient épargnées par ce phénomène. Au regard de cette analyse poussée, le dynamisme et l’attractivité du centre-ville de Dijon sont incontestables : faiblesse du taux de vacance, h...ausse de la fréquentation durant le premier week-end des soldes (+ 30% entre 2015 et 2016), ou encore niveau plus élevé du panier moyen des consommateurs dans les grandes enseignes. Par le biais de nombreux aménagements et infrastructures de transport réalisés : tramway, bus, navette gratuite et aussi par la mise à disposition de milliers de places de stationnement (gratuites durant les périodes de forte intensité commerciale), sans compter la mise en valeur de haute qualité des vitrines des commerces, le centre-ville de Dijon certifie que son incroyable tendance commerciale n’est pas due au hasard. En effet, cela résulte d’une politique volontariste en la matière et du concours entre la municipalité et les commerçants du centre-ville, sans lesquels une telle distinction n’aurait été possible. En outre, la piétonisation mise en place depuis plusieurs années et qui s’amplifiera en 2016 avec l’agrandissement du secteur par les rues Charrue et Piron, participe amplement des observations révélées par cette étude. Enfin, grâce à la récente inscription du secteur sauvegardé au patrimoine mondial de l’UNESCO, la rénovation complète du musée des Beaux-Arts et la création en marche d’une cité internationale de la gastronomie, la ville de Dijon bénéficie d’une reconnaissance mondiale dont nous ne manquerons pas, forts de notre énergie et notre mobilisation, de tirer profit dans l’intérêt de tous. Ce début d’année atteste en ce sens combien Dijon joue et assume pleinement non seulement sa stature et son rôle moteur de capitale régionale, mais aussi et surtout se revendique par sa vitalité et son rayonnement comme une grande ville du Centre-Est.

vendredi 26 février 2016

Modifications de permanence de quartier


La ville de Dijon vous informe que les permanences de quartier de Nathalie KOENDERS, première adjointe au maire, déléguée du quartier Centre-ville / secteur République se tiendront, à compter du mercredi 16 mars 2016, chaque 3ème mercredi du mois à l’école du Nord – 12 rue du Nord, de 17h30 à 18h30, uniquement sur rendez-vous (contacter le 03 80 74 52 48).



La ville de Dijon vous rappelle que pour le quartier Centre-ville / secteur Berlier, Nathalie KOENDERS tient une permanence de quartier chaque 1er mercredi du mois de 17h30 à 18h30 (sans rendez-vous) à l’école élémentaire Dampierre – Rased – 21 bis, rue Berlier.

mardi 26 janvier 2016

Intervention sur le Débat d'orientation Budgétaire pour 2016 de la ville de Dijon

 
 
Monsieur le Maire,
Mes chers collègues,


Au nom des membres du groupe PS, PRG, citoyens et apparentés, je souhaite tout d'abord remercier notre collègue Georges Maglica pour son exposé clair et précis.


Je salue l'exercice de transparence qui met sur la table la réalité des décisions responsables que nous avons à prendre.

 
Je souhaite aussi exprimer une certaine fierté du sens des responsabilités qui anime notre équipe au moment du débat budgétaire.

 
Les Français attendent une grande rigueur dans la gestion des deniers publics. Ils attendent que nous affirmions notre attachement aux valeurs du service public mais aussi notre conception moderne et efficace de l'action publique.

Ils attendent aussi que nous soutenions l'activité économique et l'emploi. Nos investissements y contribuent et le maintien d'un haut niveau d'investissement fait partie de nos priorités réaffirmées


A la fois au nom du groupe PS, PRG, citoyens et apparentés et en tant qu'adjointe au personnel, je salue les efforts consentis par nos équipes pour tenir nos engagements envers les Dijonnais. Dijon est, parmi les grandes villes françaises, celle qui a le mieux contenu l'évolution de ses dépenses de personnel depuis 2014. Cela s'est fait tout en respectant une réelle volonté politique de poursuivre et renforcer le dialogue social avec nos agents, d'intensifier l'action sociale et de sécuriser et accompagner tous les parcours individuels.

La période actuelle ne demande pas seulement de notre part une grande capacité de maîtrise. Elle demande aussi un certain courage. Elle demande enfin de ne pas perdre de vue ce qui fonde l’engagement majeur de l’équipe municipale : améliorer la vie des Dijonnais, être présent à leurs côtés, au quotidien dans tous les quartiers de la ville, et préparer l'avenir.


En conclusion, je voudrais rappeler qu'il s'agit du 1er conseil muncicipal depuis la création de notre nouvelle grande région Bourgogne Franche-Comté. Au moment de ce débat budgétaire, il est important de réaffirmer l'ambition de DIJON, choisie par l'Etat pour être l'une des 13 capitales régionales de notre pays. C'est une fierté pour notre ville et ses habitants d'assumer ce nouveau rôle et nous devons conforter Dijon dans son rôle d'attractivité incontestable (La poursuite de la tranche 2 de la rénovation du MBA, le projet de Cité Internationale de la Gastronomie et du Vin, les travaux d'extension-rénovation de la Vapeur et la poursuite de l'embellissement du centre-ville suite à son calssement au patrimoine mondial de l'Humanité y contribuent).

Dans ce contexte exigeant et incertain, les talents, l’énergie, la soif de réussite dont notre ville est dotée, l’appellent à tenir un rôle de premier plan dans les évolutions à venir.

Ce Débat d'Orientation Budgétaire pour le budget 2016 consacre donc notre volonté de faire face aux défis d’aujourd’hui, et d’être au rendez-vous de demain.



Je vous remercie de votre attention

mardi 5 janvier 2016

Très belle année 2016


L’année qui vient de s’écouler laissera en nous et pour longtemps de bien tristes souvenirs... Je voudrais redire notre fraternité, notre solidarité et notre soutien aux victimes et aux familles endeuillées par les tragédies innommables qui, à plusieurs reprises cette année, ont frappé notre pays. Nos pensées les plus émues vont vers celles et ceux qui n’ont pu survivre à ce que nous n’aurions jamais dû connaître.


Toutefois cette année passée a révélé en nous la nature de ce que doit être une nation libre et unie : la solidarité face au repli sur soi, l’espoir face à la résignation et la détermination face au terrorisme et à la barbarie.


En 2016 de grands défis nous attendent, tandis que nous sommes conscients d’être entrés dans une période inédite de l’histoire de notre pays. Nous devrons pour les relever nous servir de notre passé, de notre mémoire comme de nos expériences, pour construire ensemble ce que nous voulons de meilleur pour nous-mêmes comme pour nos enfants : un monde plus juste, plus solidaire et plus protecteur tout en refusant que la terreur et l’incertitude soient désormais érigées en norme.


Je souhaite que pour cette nouvelle année, chacun d’entre nous soit animé par l’esprit et les qualités humaines fondamentales dont nous avons fait preuve l’année dernière dans l’adversité. Pour qu’ensemble nous bâtissions non seulement les conditions collectives au bonheur de chacun, mais aussi et surtout, pour qu’en 2016 nous puissions Vivre la Vie avec un grand V.


Je vous présente à toutes et à tous avec l'ensemble des élus du groupe socialistes, radicaux de gauche, citoyens et apparentés du conseil municipal de Dijon, mes voeux de bonheur, de santé et de réussite pour l'année 2016.



 

Nathalie KOENDERS
 
Présidente du Groupe Socialiste, Radical de Gauche, Citoyen et apparentés du Conseil municipal de Dijon.


Première Adjointe au Maire de Dijon

Conseillère départementale de la Côte-d’Or