lundi 23 décembre 2013

Billet du lundi

Je vous souhaite à toutes et à tous de très belles fêtes de fin d'année




Photo Crédit Le Grand Dijon

lundi 16 décembre 2013

Billet du lundi

Un budget primitif 2014 solidaire, combatif et visionnaire pour la ville de Dijon

Le conseil municipal votera ce soir le budget primitif 2014 de la ville de Dijon.
Dans le contexte économique actuel, ce budget est conforme aux engagements que nous avons pris en 2008 : il est fondé sur une gestion rigoureuse visant à limiter nos dépenses de fonctionnement afin de réduire notre endettement, tout en maintenant un niveau élevé d'investissement. En effet, près de 50 millions d'euros seront investis pour soutenir l'activité de notre ville. Cette volonté d'investir témoigne de notre détermination face à la crise, notre confiance dans l'avenir et notre ambition pour notre ville.

Avec plus de 285 millions d'euros au service des dijonnais, le budget 2014 a pour ambition d'améliorer le cadre de vie des habitants et d'embellir la ville. Rénovation des quartiers, aménagements urbains, développement économique, écoles, crèches, culture, sport, espace verts etc. Tels seront les secteurs pour lesquels Dijon soutiendra et poursuivra son développement.
Ils traduisent nos principales orientations pour la qualité de la vie des quartiers, la solidarité et la cohésion sociale, le maintien du niveau des services rendus aux dijonnais et la poursuite de l'équipement de notre ville pour un mieux "vivre ensemble". Ils sont le reflet d'une volonté d'investir aujourd'hui et demain pour notre ville.

Ce budget, au service des citoyens, consacre notre volonté de faire face aux défis d'aujourd'hui et d'être au rendez-vous de l'avenir.





lundi 9 décembre 2013

Billet du lundi

Dijon récolte le fruit de ses investissements....

En se dotant d'infrastructures culturelles et sportives performantes, le Grand Dijon permet aux habitants de pouvoir bénéficier d'équipements de loisirs et compétitifs toute l'année, pouvant également accueillir des manifestations de niveau national et international.

Ainsi la ville de Dijon a été choisie ce week-end pour accueillir des évènements à rayonnement national tels que l'élection de Miss France au Zénith et le championnat de France de natation à la piscine olympique. Ils ont tous les deux rencontré un grand succès populaire et médiatique au regard du nombre de spectateurs et de téléspectateurs, et de la couverture médiatique sans précédent, dépassant le cadre de la presse locale pour investir la presse nationale et grand public.

Une fois encore, la ville de Dijon démontre sa capacité à accueillir des évènements de grande ampleur et à en assurer un succès populaire avec des retombées économiques et financières pour de nombreux acteurs locaux : hôtels, restaurants, commerces etc.

Dijon renforce son image de capitale régionale rayonnante  et s'impose comme une ville attractive et accessible pour tous.

jeudi 5 décembre 2013

Assemblée générale de fin de mandat des commissions de quartier

L’assemblée générale de fin de mandat des commissions de quartier aura lieu le vendredi 6 décembre 2013 à 19 h.


Mises en place par la ville de Dijon en octobre 2002, les commissions de quartier ont pour objectif de développer la démocratie participative à Dijon. Depuis leur création, ces commissions permettent d'échanger et de prendre en compte les besoins des Dijonnaises et des Dijonnais afin d'améliorer leur quotidien. Ce sont des lieux de dialogue, d'écoute, de consultation et de proposition. Regroupant élus et citoyens, les commissions de quartier sont au nombre de neuf.

L’article 11 du règlement intérieur des conseils de quartier stipule "qu’à l’issue de chaque mandat, soit au terme de trois années de fonctionnement, un bilan est présenté… Il s’agit de maintenir la cohésion sur l’ensemble du territoire mais aussi d’échanger sur les expériences et sur les méthodes de travail". Cette séance n’est pas une séance publique, seuls les membres habitants et les élus des 9 commissions de quartiers sont conviés.

A cette occasion je présenterai le bilan de la mandature 2011-2014 des commissions de quartier.

lundi 2 décembre 2013

Billet du lundi

Ce matin, Jean-Paul Bailly, ancien président de la Poste, rend son rapport très attendu sur le travail dominical au Premier ministre.

Aujourd'hui la législation sur le travail dominical impose un repos hebdomadaire d’une durée minimale de 24 heures consécutives pour les salariés. Et, comme le précise le Code du travail : « Dans l’intérêt des salariés, le repos hebdomadaire est donné le dimanche ». 
Or la législation actuelle montre ses limites avec plusieurs dérogations permettant d’organiser le travail ce jour-là et trop de distorsions selon les lieux géographiques et le type de commerce, amplifiées par la loi Mallié de 2009 créant les PUCE (Périmètres d'Usage de Consommation Exceptionnelle).  Une remise à plat de la législation s'impose.

Le travail dominical  pose aussi la question de l'équilibre de la société entre les nouvelles pratiques des consommateurs et la protection des salariés. 

S'il semble important de clarifier son cadre juridique, le travail du dimanche ne doit pas être généralisé ou banalisé. Il doit être très encadré avec de vraies contreparties en termes de compensation salariales et de jour de repos ; car mettre uniquement en avant le volontariat du personnel c'est méconnaître l'inégalité de la relation employeur/salarié.

Le principe du non travail le dimanche doit rester la règle car proposer un modèle du "tout consommation" est un projet de société qui va à l'encontre du progrès humain.






Un Noël attractif et solidaire à Dijon

 Attendues par les plus petits mais aussi par les familles, les fêtes de fin d’année sont le moment privilégié pour se retrouver ensemble et partager.

Placées sous le label "Un Noël extraordinaire à Dijon", ces fêtes de fin d’année réserveront encore de nombreuses surprises car pour l’édition 2013, la ville de Dijon s’est fortement mobilisée pour offrir aux Dijonnais et aux visiteurs toutes une série nouvelle d’animations, d’attractions et de spectacles pour émerveiller petits et grands.

Si chacun pourra retrouver cette année encore, comme c’est la tradition, le spectacle son et lumières, les spectacles jeune public, les activités dans les structures culturelles…, la formule a évolué vers une version plus ludique, familiale et conviviale des animations :

·      Une patinoire de 600 m² (glace authentique), place de la Libération
·      un véritable village de Noël avec ses 25 chalets blancs place de la République, une grande roue de 40 m (une première à Dijon !), un carrousel traditionnel, un labyrinthe de sapins, deux tentes d'animations...

Comme l'année dernière, les commerçants offriront près de 100 000 tickets pour profiter gratuitement de toutes les attractions.

Enfin, pour que la fête soit plus belle, la municipalité de Dijon reconduira les opérations de solidarité avec les repas de Noël pour les Dijonnais de 65 ans et plus, pour les personnes qui bénéficient du portage des repas à domicile et qui ne peuvent se déplacer : des corbeilles de Noël ; la collecte de jouets pour les petits Dijonnais les plus démunis et beaucoup d’autres actions solidaires relayées par la municipalité mais aussi par les associations comme des milliers de places de spectacles et de tickets gratuits offerts aux familles les plus défavorisées.

Du 30 novembre 2013 au 5 janvier 2014, à Dijon, Noël sera incontestablement extraordinaire !

Lancement officiel le samedi 30 novembre à 18h place de la libération, par François REBSAMEN, sénateur-maire de Dijon, président du Grand Dijon, en présence de Marine LORPHELIN, Miss France 2013, 1ère dauphine de Miss Monde, et des 33 prétendantes au titre de Miss France 2014.



lundi 25 novembre 2013

Billet du lundi

La Sécurité est l'affaire de tous et chacun a sa part de responsabilité dans son maintien.
La ville de Dijon, la préfecture de Côte d'Or, la CCI et la fédération des commerçants et artisans "Shop In Dijon" lanceront ce soir officiellement le dispositif « ALERTE COMMERCES » visant à prévenir les commerçants, artisans et prestataires de services en cas de délits (vol à main armée, fausse monnaie etc.) via la réception d’un SMS sur leur téléphone portable. Le dispositif repose sur le principe qui veut qu’une diffusion rapide de l’alerte permet d’éviter la réitération des faits.
A ce jour plus de 150 professionnels dijonnais adhèrent à ce dispositif.

La sécurité dans les points de vente et dans l'espace public est un pré-requis indispensable à l'activité commerciale. Or cette dernière peut être confrontée à une insécurité et/ou délinquance constante : vol à main armée, fausse monnaie, chèques volés ou interdits bancaire…

C’est pourquoi, pour limiter des agissements néfastes pour les
commerçants, artisans et prestataires de services et créer un sentiment de
solidarité, 
 la ville de Dijon finance pour les commerçants  "ALERTE COMMERCES",au côté des autres partenaires, qui fonctionne déjà dans d'autres départements.


Avec un taux de délinquance assez faible, Dijon se révèle être une des grandes villes de France les plus sûres. Pour autant, je suis convaincue que si l'ambiance générale d'un centre ville est plus apaisée, il sera plus favorable à l'activité économique. L'attractivité de notre centre ville est un enjeu prioritaire qu'il faut accompagner dans son développement.

jeudi 21 novembre 2013

STRUCTURES DE REPOS RUE DE LA LIBERTÉ :VENEZ TESTER LES ASSISES ET VOTEZ POUR VOTRE CHAISE FAVORITE !



À l’initiative de la commission de quartier centre-ville de la ville de Dijon, une grande consultation est organisée le samedi 23 novembre 2013, de 10h30 à 16h30, place François Rude, afin que chacun puisse s’exprimer sur les structures de repos qui seront installées prochainement au fil de la rue de la Liberté.

Le principe est simple : testez les assises et votez pour votre chaise favorite !

Les membres de la commission de quartier proposeront aux personnes qui le souhaitent (Dijonnaises/ Dijonnais mais aussi badauds et touristes) de tester et de voter pour la chaise qu’elles préfèrent. Trois modèles, validés par Thierry Ciccione, l’architecte en charge du projet Via Liberté et par les services techniques de la ville, sont proposés :

• Le cube de Comblanchien : sobre et esthétique, il est en pierre calcaire naturelle et est issu de nos carrières de Côte-d’Or. Dimensions : 50 x 50 x 50 cm.e

• Le fauteuil Aldus© : similaire au mobilier mis en place square des Ducs, il est en aluminium et en bois lasuré. Il est fabriqué à Sommevoire(Haute-Marne). Dimensions : 82,5 x 70,5 x 60 cm.

• La chaise Elinium© : au design contemporain, elle est en acier gris cosmos. Elle est fabriquée à Aix en Provence (Bouches-du-Rhône). Dimensions : 76 x 59 x 91 cm



Un plan des emplacements prévisionnels sera exposé ainsi que les trois modèles de chaises.
Les bulletins de vote seront mis à disposition des petits et des grands, et seront déposés dans une urne sur site.

Nathalie KOENDERS, adjointe déléguée au commerce, à l’artisanat et à la démocratie locale, présidente de la commission de quartier centre-ville, accueillera la presse lors d’un point presse qui se déroulera à 11 h, place François Rude.

lundi 18 novembre 2013

Billet du lundi

Les commerçants et artisans du centre ville de Dijon au plus près des dijonnais et des Internautes...

La ville de Dijon et la fédération des commerçants et artisans Shop in Dijon ont signé récemment un partenariat inédit avec le groupe français spécialisé en cartographie Mappy permettant la visite virtuelle de l'ensemble des commerces du centre ville. Ces visites virtuelles permettront de montrer que le centre de Dijon bénéficie d’un tissu ­commercial intéressant, avec une offre commerciale et artisanale diversifiée. Ce moyen simple, gratuit et valorisant permet d'encourager de nombreux commerçants et artisans à faire leurs premiers pas sur le digital, par le biais de la création d'une véritable vitrine virtuelle.
L'intérieur des établissements de plus de 600 commerces dijonnais participants sera donc prochainement visible sur Mappy, avec des informations à valeur ajoutée, horaires, services, accessibilité, moyens de paiement etc.
La ville de Dijon devient donc une des premières ville de France où le centre ville est presque intégralement disponible en visite virtuelle.


Cet outil va dans le sens du développement de l'utilisation des nouvelles technologies, de nos jours indispensables aux commerçants et artisans. Car cette forme de distribution est devenue incontournable au sein de notre société. Il est donc important d'aider, d'inciter et de former les commerçants et artisans de proximité à utiliser ce principe, propre à apporter des clients supplémentaires dans leurs magasins.

Je ne crois pas à l’antagonisme des différentes formes de commerce car je suis convaincue que l’avenir c’est la complémentarité. Dans un contexte économique difficile, je pense que les municipalités doivent mobiliser leur énergie et leur volonté pour réussir à faire face aux formidables défis des commerces d’aujourd’hui, pour notre économie et pour nos villes.

Les blogs de Politiquemania : Jeunes acteurs politiques, entretien avec Nathalie Koenders

Deuxième entretien dans cette rubrique consacrée aux jeunes acteurs politiques français. Direction la Côte-d'Or pour découvrir Nathalie Koenders, membre du Parti socialiste, adjointe au maire de Dijon déléguée au Commerce, à l'Artisanat et à la Démocratie locale et également conseillère communautaire au Grand Dijon


Nathalie Koenders, pouvez-vous vous présenter ?

Née le 1er mars 1977, j’ai effectué toute ma scolarité à Dijon de l’école maternelle au lycée européen Charles-de-Gaulle où j'ai obtenu le BAC S en 1995. Parallèlement, j'ai pratiqué le canoë-kayak à haut niveau au club de l'ASPTT Dijon : j'ai été en équipe de France Jeune et Sénior de 1992 à 2001 où j'ai décroché plusieurs titres de championne de France et de sélection aux championnats du monde et d'Europe.
Après le BAC, je suis allée à l'Université du Sport de Dijon (UFR STAPS) où j'ai obtenu une maîtrise en management et droit du sport puis j'ai décroché le concours de professeur de sport à l'INSEP (Institut National du Sport et de l'Education Physique).
Professeur au Creps de Dijon depuis 2001, j'ai décidé de reprendre mes études en 2004 après l'arrêt de ma carrière de sportive de haut niveau.
Licenciée en droit public, j'ai réussi le concours du cycle préparatoire au concours d'entrée de l'ENA en 2006; j'ai donc été détachée auprès de l'ENA pendant un an et je suis partie à l'Institut d'Etudes Politiques de Lille pour valider ce cycle préparatoire.
Lors des élections municipales de 2008, François Rebsamen m'a proposé de rejoindre son équipe et m'a confié la délégation au commerce, à l'artisanat et au projet Cœur de ville.
Je suis également conseillère communautaire à l'agglomération dijonnaise où je siège à la commission économique et à la commission déplacement.
En 2012, François Rebsamen m'a renouvelé sa confiance en me donnant la délégation à la Démocratie Locale. C'est un poste passionnant et prenant que je dois combiner avec mes activités professionnelles et familiales (Je suis pacsée et maman de 2 garçons).

Qu'est ce qui a motivé votre engagement en politique ?

Je me suis engagée en politique avec l’envie et la volonté de faire bouger les choses. Je pense que nous sommes tous responsable de la construction de notre avenir et qu’ensemble on trouve les meilleures solutions. S’engager en politique c’est avant tout être au service des autres pour améliorer le bien commun. Quand François Rebsamen m’a proposé de rejoindre son équipe en 2008, j’ai tout de suite accepté car cela m’a permis de matérialiser cet engagement.

Quels sont vos atouts pour vous imposer dans le paysage politique français ?

Je n’ai jamais imaginé avoir à « m’imposer » dans le paysage politique français. Si je dois m’imposer, je souhaite que cela se fasse de manière naturelle, par la reconnaissance d’un travail bien mené et bien fait. A l’inverse, je détesterais que soit mis en avant le fait que je sois une femme, ou pire une jeune femme, car je considère que le mérite et la justice sont les seules valeurs selon lesquelles j’accepte d’être perçue et jugée dans mon travail. En tant qu’ex sportive de haut niveau, je suis très attachée aux résultats obtenus et à eux seuls, et je suis également très attentive à la manière.

L'univers que vous avez découvert est-il conforme à ce que vous attendiez ?

Je n’avais pas d’a priori ou d’idée préconçue en la matière. J’ai beaucoup observé d’abord et ensuite, je me suis principalement attachée à faire ce pour quoi les dijonnais ont placé leur confiance en nous. Ce dont je m’aperçois au fil de mon mandat c’est que c’est un univers avec ses propres codes que l’on découvre au fur et à mesure du temps. Et que le travail d’équipe est plus que nécessaire, il est incontournable. D’une façon générale, je ne cherche à ne pas me perdre dans les aspects contingents de la vie politique en m’attelant à œuvrer pour le nécessaire, c’est à dire participer à créer les conditions collectives au mieux vivre ensemble : changer la vie des gens ou tendre à l’améliorer dans un premier temps.

Si vous pouviez changer un aspect de la vie politique française, quel serait-il ?

Je ne pense pas qu’il y ait une vie propre à la politique. Sûrement que tout y est décuplé, à commencer par les passions. Peut-être est-ce dû à la notion de pouvoir qui est parfois difficile pour l’Homme à appréhender. Si je pouvais changer quelque chose j’aimerais faire entendre à nombre d’entre nous que le véritable pouvoir est le pouvoir sur soi.

Dans l'Histoire contemporaine de la France, à quelle autre époque auriez-vous souhaité vous engager politiquement ?

Je suis bien dans mon époque même si parfois le passé peut rendre nostalgique : la musique, la littérature et le sport, en tant ex sportive de haut niveau, pour lequel l’intérêt n’était pas le même. Il est vrai qu’aujourd’hui certains sports sont devenus une marchandise comme une autre et cela est fort dommageable car l’esprit du sport professionnel est parfois en contradiction avec l’esprit essentiel du sport. Mais hormis cela je vis en harmonie avec mon temps et donc je refuserais d’en changer car il y a tant à faire pour parvenir à l’avènement d’une société plus juste, plus égalitaire et donc plus émancipatrice.

Que diriez-vous aux jeunes qui veulent se lancer en politique ?

Je ne suis pas certaine d’être en capacité de donner des conseils en la matière car mon parcours peut être vu à juste titre comme atypique. Au risque de me répétez je dirais que le véritable pouvoir est le pouvoir sur soi et que le doute est sain, pour ne pas dire sage. Et puis oser, avoir de l’audace, encore et toujours de l’audace ! « Quoi que tu rêves d’entreprendre, commence-le. L’audace a du génie, du pouvoir, de la magie » Johann Wolfgang Goethe.

Racontez-nous votre première expérience électorale

François Rebsamen m’a proposé en 2008 de travailler avec lui à la conquête d’un second mandat. Ce fut ma première expérience électorale avec les premiers tractages sur le marché, le porte à porte, les meetings et les rencontres le soir chez l’habitant. Une campagne électorale est d’abord une expérience humaine, riche de rencontres.

Si vous deviez mettre toute votre énergie en faveur d’une mesure, quelle serait-elle ?

Il y a de tels enchevêtrements entre les faits politiques que je cèderais à la démagogie si je vous citais une mesure en particulier. Ma conception et mon appréhension de la politique me font m’attacher au Tout. Aussi, je mets toute mon énergie au service de mon travail et de la Gauche et des valeurs qui sont les siennes, à savoir l’égalité des chances, la justice et la justice sociale, la répartition équitable des ressources, la solidarité, la lutte contre l’individualisme, l’intérêt général partagé et prévalant sur les intérêts particuliers etc. En résumé, pour moi, le Socialisme c’est l’émancipation.

Quels sont vos prochains défis ?

Je soutiendrai François Rebsamen pour les prochaines élections municipales de 2014. D’une façon plus générale je dirais que mes prochains défis collectifs seront ceux pour lesquels le Président de la République et son Gouvernement s’engagent et luttent quotidiennement c’est à dire les valeurs citées précédemment, celles du socialisme.

mercredi 13 novembre 2013

Inauguration de jeux pour enfants au square du parc municipal des sports dans le quartier Université

Inauguration de jeux pour enfants au square du parc municipal des sports, aménagement réalisé au titre des projets liés aux budgets participatifs 2012.

Cette manifestation se déroulera le :
Jeudi 14 novembre 2013 à 11 h
Square du parc municipal des sports
Place Gaston Gérard - Dijon

Dans le cadre du dispositif de démocratie participative instauré par la ville de Dijon, des budgets participatifs annuels de 40 000 € ont été alloués à chaque commission de quartier pour des dépenses d'investissement. Ce dispositif implique les membres des commissions dans la vie de leur quartier en leur permettant, grâce à leurs projets ou micro-projets, d'intervenir dans l'aménagement public et le soutien à des initiatives visant à améliorer la vie quotidienne.

Les membres de la commission de quartier Université ont souhaité offrir aux enfants du quartier des jeux supplémentaires au square du parc municipal des sports, au titre des budgets participatifs 2012, en affectant la somme de 18 500 euros.

L’aménagement, réalisé fin octobre 2013, comprend :

• Un portique balançoire deux places (hauteur du portique posé : 2,40 m)
• Une structure multi-activités
• Un jeu ressort multi-utilisateurs

lundi 4 novembre 2013

Billet du lundi

Dijon renforce son rôle de capitale régionale de la Bourgogne

L'important pour une capitale régionale c'est de renforcer son implantation régionale et son attractivité. La modernisation du centre commercial de la Toison d'Or inauguré la semaine dernière, au même titre que le commerce de centre ville, la rénovation du Musée des Beaux Arts, la Cité Internationale de la Gastronomie et les équipements culturels et sportifs structurants de notre agglomération (Zénith, piscine olympique, grand stade etc.) contribuent au rayonnement de Dijon.
En se dotant d'infrastructures de transport et de déplacement à la pointe : tramway, mise en service de la Lino en 2014, gare moderne et étoile TGV complète, Dijon se positionne aujourd'hui comme une métropole européenne.

Cela fait maintenant 23 ans que le centre commercial de la Toison d'Or a ouvert et le groupe Unibail a souhaité, comme pour tous ses autres centres commerciaux, le moderniser et l'adapter pour rester à la pointe afin d'offrir un nouveau concept et des services correspondants à la demande de la clientèle et de devenir l'un des tout premiers centres commerciaux de province.

Il est tentant d'opposer les centres commerciaux périphériques aux commerces des centres-ville. Mais l'activité commerciale globale d'une ville est un élément constitutif très fort de l'avenir de l'ensemble de ses quartiers. En effet, le dynamisme commercial d'une ville participe fortement à son rayonnement. C'est un domaine en pleine mutation et un sujet sur lequel travaillent de nombreuses villes et acteurs du commerce. Elargir le débat pour comprendre le développement de Dijon à l'horizon 2020 est donc indispensable.
Car c'est l'ensemble de tous ces projets qui fait et fera de Dijon et en premier lieu son centre historique et commercial, une ville dynamique sur le plan démographique, attractive en matière économique, rayonnante, douce à vivre et solidaire.
En cela, la modernisation du centre commercial de la Toison d'Or comme le renforcement de commerce de centre ville répondent à ce même objectif.

lundi 28 octobre 2013

Billet du lundi

J'ai réagi en fin de semaine dernière, par voie de communiqué de presse, suite à l'invitation d'un collectif se proclamant "Indépendant et Apolitique" du Commerce et de l'Artisanat dijonnais. Cette association n'a jamais demandé à ce jour à être reçue par la municipalité de Dijon. Toutefois, je suis tout à fait disposée à rencontrer son représentant mais plutôt sous la forme d'un débat politique - en toute clarté - compte tenu du soutien officiel de ce dernier envers le candidat UMP investi pour les prochaines élections municipales de Dijon.
Je souhaitais apporter ces précisions qui me semblent utiles pour le débat démocratique.



Voici le communiqué :
Plusieurs médias m’ont invitée cette semaine à réagir à une proposition « de rencontre des candidats à la Mairie de Dijon », formulée - donc par voie de presse interposée - par une nouvelle union commerciale qui s’est proclamée « Collectif Indépendant du Commerce et de l’Artisanat ». Un collectif qui prétend, pour ses « 80 adhérents » recrutés « en 6 mois », avoir « développé de nombreux outils pour améliorer la situation économique des commerçants : plus grande galerie marchande virtuelle sur Facebook, programme de formations, conseils collectifs et individualisés dans le domaine de la gestion et du droit des affaires, actions de communication grand public »… Derrière toutes ces paroles, bien évidemment un grand vide : à titre d’exemple, allez vite consulter la fameuse page Facebook énoncée plus haut, je vous laisse juge !
Non content de marcher ainsi sur les plates-bandes de la CCI et de la CMA, cette Union – qui s’est baptisée « Cœur de Ville » certainement en hommage mot pour mot au programme municipal de François Rebsamen en 2008 (action numéro 90 : « mettre en place le projet Cœur de ville pour soutenir le commerce du centre-ville ») – s’en prend en outre directement à la fédération Shop in Dijon, avançant sans vergogne qu’avec « 100 fois moins de budget » que ladite fédération, elle est « nettement plus efficace »… Il y a encore quelques semaines, on avait pu lire dans la presse, à travers les déclarations de son fondateur, Nicolas Vairelles, que Cœur de Ville se voulait complémentaire de Shop in Dijon… Visiblement, ce n’est plus le cas aujourd’hui, mais ce n’est pas étonnant puisque, alors que Shop in Dijon construit l’avenir, Cœur de Ville passe en boucle la rengaine fantasmagorique de la « dégradation du centre-ville », quand tous les Dijonnais saluent exactement l’inverse au fil de leur promenade dans le (vrai) cœur de Dijon !
Qu’est-ce qui fait courir Cœur de Ville ?
Donc je pose une question : qu’est-ce qui fait courir Nicolas Vairelles, à la tête d’une union commerciale alors que lui-même – fait inédit en France dans le monde de ces organisations professionnelles - n’est pas commerçant ? La réponse est simple et, à la base, on ne peut plus respectable : ce monsieur fait de la politique. Pour le compte de son parti, l’UDI, qui soutient officiellement le candidat UMP aux prochaines élections municipales à Dijon ! Ce n’est pas moi qui l’affirme, c’est l’UDI elle-même qui, à travers quelques communications à la presse, n’a ni caché l’appartenance de Nicolas Vairelles à son mouvement (article du Bien Public du 29 mai 2013 – en pièce jointe) ni hésité à le mettre en avant (il est le premier à gauche sur la photo de l’article du Bien Public du 28 septembre 2013, également en pièce jointe, où l’un des leaders de l’UDI témoigne « son empressement de voir investi un candidat UMP »).
Et si tout cela ne suffisait pas à apporter la preuve d’une sorte d’imposture, je vous joins enfin une copie d’écran du site internet de ce collectif Cœur de Ville en date du 2 mai 2013 : non seulement on y trouve une « actu » sur le « lancement du site de campagne d’Alain Houpert », mais aussi une brève sur un « feu de poubelle dans le quartier des Poussots ». Deux infos qui ne devraient en aucune manière figurer sur le site d’une association qui se veut indépendante et au service des commerçants, vous en conviendrez facilement…
Il va donc de soi qu’il sera peu utile de rencontrer le représentant de Cœur de Ville puisque, contrairement à ce qu’il veut faire croire, il a déjà choisi son camp !
Ne plus avancer masqué
Nicolas Vairelles a le droit de faire de la politique. J’en fais également, chaque jour, au sens étymologique du terme et en responsabilité ! Je suis en effet au service de la vie de la cité, de ma cité, de notre ville, de ses commerçants et artisans en particulier, pour défendre leurs intérêts aussi bien auprès des mes collègues du conseil municipal que sur le terrain.
Donc je le redis : l’UDI Nicolas Vairelles - retenez bien son nom car il est tout à fait probable qu’il s’engage d’une manière ou d’une autre dans la campagne des municipales - a le droit de faire de la politique… Mais je ne peux admettre plus longtemps qu’il tente d’avancer masqué, qui plus est en brassant du vent et des concepts de gouvernance fumeux (« pas de bureau », « pas de rapports hiérarchiques des uns envers les autres », « un système qui évite les conflits d’intérêts »…), des concepts qui feraient sourire si son objectif visiblement peu avouable n’était pas aussi triste et ratatiné…
A l’évidence, ce jeune homme a voulu tromper les commerçants dijonnais. J’espère très sincèrement, s’il ose à nouveau venir leur chuchoter dans l’oreille sa conception de l’indépendance ou son sens de l’intérêt général, que les commerçants et artisans dijonnais ne se tromperont pas ou plus !

Nathalie Koenders
Maire adjointe de Dijon déléguée au commerce, à l’artisanat et à la démocratie locale

jeudi 24 octobre 2013

Inauguration de l’aménagement de strapontins sous les halles, réalisé dans le cadre des projets liés aux budgets participatifs 2010.

Je réprésenterai demain le Sénateur Maire François Rebsamen pour l’inauguration de l’aménagement de strapontins sous les halles, réalisé dans le cadre des projets liés aux budgets participatifs 2010.

Rendez-vous le vendredi 25 octobre 2013 à 11 h sous les halles de Dijon


Dans le cadre du dispositif de démocratie participative instauré par la ville de Dijon, des budgets participatifs annuels de 40 000 € ont été alloués à chaque commission de quartier pour des dépenses d'investissement. Ce dispositif implique les membres des commissions dans la vie de leur quartier en leur permettant, grâce à leurs projets ou micro-projets, d'intervenir dans l'aménagement public et le soutien à des initiatives visant à améliorer la vie quotidienne.

Cet aménagement sous les halles fait partie d'un projet global de réflexion sur les structures de repos en centre-ville. L’étude, fondée sur une concertation active, avait associé habitants et services municipaux dès le départ afin de choisir les meilleurs emplacements et les structures les plus appropriées. Cette démarche participative avait été co-pilotée par les deux services municipaux temps urbains et démocratie locale avec l’aide d’un collectif d'urbanistes et de sociologues : BAZAR URBAIN basé à Grenoble. Une enquête sur le terrain a été menée en organisant plusieurs parcours urbains commentés, laquelle a conduit à une synthèse sur les besoins en mobiliers et structures de repos en centre-ville. Celle-ci a été présentée aux membres de la commission, aux services concernés de la ville de Dijon et du Grand Dijon, puis les projets d'aménagement, dont la faisabilité a été approuvée, ont été priorisés et validés en conseil municipal.

Différents lieux ont été retenus dont l'intérieur des halles et la rue de la Chouette.

En effet, le groupe de travail avait observé qu'aucune structure de repos n'était présente sous les halles pour permettre aux Dijonnais, notamment âgés, de se reposer pendant le marché. Aussi, 8 strapontins (à hauteur normal et PMR) ont été posés aux quatre coins des halles à proximité des bornes fontaines.

L'aménagement d' autres structures de repos rue de la Chouette et rue de la Liberté sera finalisé d'ici la fin de l'année.

lundi 21 octobre 2013

Billet du lundi

La semaine européenne de la Démocratie Locale vient de se terminer. Le thème de cette année était placé sous le signe de "La citoyenneté active : voter, partager, participer". En effet, alors que le niveau de défiance à l'encontre du politique augmente, les citoyens veulent plus de dialogue public.
Depuis 2001, François Rebsamen a mis en place les commissions de quartier - dotées chacune de budget participatif- afin de positionner les Dijonnais au coeur de ce dialogue public relatif aux projets de la collectivité. En développant ces concertations innovantes et vivantes, les Dijonnais sont devenus de véritables acteurs de la vie municipale.

Au delà du bilan positif des conseils de quartier sur Dijon, il est nécessaire de réfléchir aux perspectives d'évolution de ces dispositifs et de ces démarches de participation citoyenne tant à l'échelle locale qu'à l'échelle nationale pour répondre aux aspirations d'un engagement plus actif et informé des citoyens.
Je pense qu'une véritable démocratie participative, en complément de la démocratie représentative, est indispensable aujourd'hui pour contourner la méfiance voire pire encore l'indifférence de certains citoyens à l'égard de la politique au sens large.
L'Acte 3 de la décentralisation va dans ce sens en proposant une redynamisation de l'organisation de la démocratie locale et de la participation citoyenne (Ce qui contraste avec la précédente réforme territoriale de Sarkozy du 16 décembre 2010 où la démocratie participative était un impensé total!). Nous ne pourrons pas relever les grands défis de demain sans miser sur l'intelligence collective des citoyens.

Pour que les citoyens accordent davantage de confiance à leurs élus, il faut que les élus accordent davantage de confiance aux citoyens. La démocratie participative, loin d'affaiblir la démocratie représentative, la renforce car elle peut être source d'une confiance retrouvée entre les élus et les électeurs.

mardi 15 octobre 2013

Permanence de quartier

Je tiendrai ma permanence de quartier le mercredi 23 octobre 2013 de 17h à 19h et non le mercredi 16 octobre prochain de 17h à 19h comme initialement prévue. Le lieu de la permanence reste inchangé : elle se déroulera 5 bis, rue de l'École de Droit.

lundi 14 octobre 2013

Billet du lundi

Je ne souhaite pas revenir sur le dérapage et l'attaque sexiste de cette semaine à l'Assemblée nationale. Néanmoins il démontre que les mentalités tardent encore à assimiler le principe de parité - surtout en politique - malgré une législation en faveur de ce principe.
Cette thématique a été largement abordée la semaine dernière au Théâtre Dijon Bourgogne (TDB) avec la présentation d'un triptyque sur le féminisme et les mécanismes inconscients de domination masculine dans notre société. Les 3 pièces de théâtre ont abordé avec énergie, intelligence et parfois de façon truculente les différentes formes de l'identité féminine.

Au lendemain des débats houleux sur le scrutin binominal paritaire qui s'appliquera en 2015 et qui va dans le sens d'une modernisation et d'une féminisation de la vie politique, ces pièces de théâtre nous rappellent que l'égalité est un combat qui se mène tous les jours sur le terrain.
Ce combat pour la parité me rappelle les propos inélégants de M. Houpert, qui souhaite se présenter devant les électeurs (et électrices!) dijonnais aux prochaines élections municipales, à l'occasion des voeux pour l'année 2013 de l'UMIH (Union des Métiers de l'Industrie Hôtelière) dans un restaurant dijonnais. Alors que je faisais remarquer que peu de femmes étaient présentes au devant de la scène, il me répond : "Si vous cherchez les femmes, elles sont à la cuisine" !!!

Machisme un jour, machisme toujours?

lundi 7 octobre 2013

Billet du lundi

Dijon fait partie des villes souvent citée en exemple pour ses actions en faveur de la démocratie participative.
Dès son arrivée en 2001, François Rebsamen a fait le choix de développer une véritable démocratie de proximité pour les dijonnaises et les dijonnais, en créant 3 conseils de quartiers divisés chacun en 3 commissions au plus près des quartiers. Un budget participatif de 360 000 Euros est venu renforcer ce dispositif en 2009 ; par ce soutien de nombreux projets ont été financés pour améliorer et dynamiser la qualité de vie dans la ville.
La Démocratie Participative enrichit le fonctionnement municipal en complément de la Démocratie Représentative. Elle favorise l'apport "citoyen" de chacun à la vie de la Cité.
Mieux gérer la ville avec les habitants, c'est faire de chaque habitant un acteur de la Cité.

Cette semaine dijonnaise a été marquée par des temps fort de la démocratie locale : j'ai présenté les projets participatifs des commissions de quartier avant le vote au conseil municipal de lundi et j'ai animé mardi soir le bureau permanent pour établir l'ordre du jour des prochaines commissions de quartier en concertation avec les habitants. Samedi, la ville de Dijon a invité pour la 12ème année consécutive les nouveaux arrivants à une journée d'accueil.
La mise en place des budgets participatifs est un parfait exemple de ce qu'est la démocratie participative : ces nombreux projets choisis par les habitants (aménagement et embellissement de square, organisation d'exposition sur la mémoire des quartiers, installation de structures de repos, etc.) contribuent à embellir et à améliorer la vie des quartiers et des dijonnais créant ainsi du lien social pour favoriser le mieux vivre ensemble.

Supprimer les commissions de quartier - comme le proposent certains candidats peu au fait de la réalité de leur fonctionnement - reviendrait à supprimer de véritables lieux de dialogues, de consultation et de proposition où les dijonnais s'expriment librement sur des sujets de proximité qui les concernent au quotidien. Vouloir supprimer les commissions de quartier illustre une vision passéiste de la vie citoyenne dijonnaise !

lundi 30 septembre 2013

Billet du lundi

De nombreux évènements dédiés au commerce ont ponctué cette dernière semaine de septembre à Dijon : réouverture du restaurant Gallery 412 à la Toison d'Or, ouverture du Séminaire national des CCI "Achat Ville" sur le E-commerce, braderie du centre-ville organisée par la fédération "Shop In Dijon", vide grenier place Wilson et "Vide Appart" de l'association des commerçants et artisans "Godrans Village" dimanche. Le commerce et l'artisanat occupent une place importante dans notre économie et vitale dans l'animation des villes. Outre sa fonction économique, le commerce a également une fonction urbaine et sociale.

Urbaine parce que les commerces embellissent les centres-villes et les quartiers ; ils sont la vie dans la ville et contribuent à l'attractivité de notre territoire.

Sociale parce que le commerce et l'artisanat créent ou maintiennent un lien social ; ils contribuent largement au "vivre ensemble" par leur présence en empathie avec leur environnement et parce-qu'ils connaissent les habitants de leur quartier.

Economique enfin car le commerce et l'artisanat proposent certes des produits mais également une nouvelle offre de services créatrices de richesses et d'emplois.

C'est pourquoi la ville de Dijon mène depuis plusieurs années une politique active en faveur des commerçants et des artisans : soutien technique et financier aux unions commerciale et artisanale pour l'organisation des évènements qui animent la ville, création d'un manager coeur de ville et d'un médiateur commerce pour renforcer le lien et la proximité, dépôt d'un dossier FISAC pour renforcer l'attractivité commerciale de notre ville, dossier que je présenterai ce soir au conseil municipal etc.

J'ai pu assister vendredi soir à la 3ème victoire consécutive du DFCO face à l'AJA qui lui permet de se classer 5ème du championnat de ligue 2.
Je tiens à saluer les joueurs, des éducateurs, du staff technique et des bénévoles du club pour tout le travail accompli. La performance est un travail d'équipe, il faut toujours être "Unis pour la victoire".

Au cours de cette semaine j'ai également assister à l'assemblée générale de l'AVUM (Association des quartiers Voltaire Université Mansart) qui proposent de nombreuses activités de loisirs pour leurs adhérents, au conseil d'administration de l'office de Tourisme, au vernissage de l'exposition "Mad Things" proposée par d'anciens élèves de l'ENSA de Dijon au Cellier de Clairvaux, au salon des éditeurs et du numérique éducatifs "éduk@2.0" au Palais des Congrès de Dijon. J'ai eu la joie de revoir à ce salon d'anciens camarades du lycée Charles de Gaulle qui organisaient l'évènement. Je suis allée à la cérémonie en hommage aux anciens membres des forces supplétives qui ont combattu aux côtés de l'armée française durant la guerre d'Algérie, à l'inauguration de l'Exposition "Quartier Université, toute une histoire" (http://nathaliekoenders.blogspot.fr/2013/09/exposition-quartier-universite-toute.html), au conseil communautaire de l'agglomération dijonnaise et au lancement de la saison "Les bibliothèques passent le mot " à la Nef.

Vendredi fut marquée par l'inauguration de la nouvelle résidence sociale de la Fontaine d'Ouche en présence de la ministre Cécile Duflot, ministre de l'Egalité des territoires et du Logement. Un moment émouvant 3 ans après le terrible incendie qui avait coûté la vie à 7 personnes ; de nombreuses personnes ont pu se recueillir devant la stèle en hommage aux victimes.
Je me suis rendue également à la réception organisée par les usagers et travailleurs sociaux du dispositif Acor été mis en place par la ville de Dijon et la SDAT (Société Dijonnaise de l'Assistance par le Travail). Je tiens à saluer l'investissement de ces travailleurs sociaux qui permettent à des personnes marginalisées d'engager un processus d'insertion sociale et d'abandonner des comportement transgressifs qui signent leur souffrance individuelle et sociale.

La semaine s'est terminée sur une note gustative avec la dégustation de la première récolte de miel de Dijon au marché des halles. En effet, la ville de Dijon accueille plus d'un million et demi d'abeilles citadines dans ses parcs, jardins et terrasses d'immeuble. Ainsi 30 ruches ont été disséminés dans toute la ville (Auditorium, parc de la Toison d'Or, de la Colombière, Jardin des Sciences etc.) pour récolter leur miel!

mercredi 25 septembre 2013

Exposition "Quartier Université : toute une histoire…".



Inauguration ce soir de l’exposition "Quartier Université : toute une histoire…".
En partenariat avec Latitude 21, la commission de quartier Université a réalisé une exposition retraçant l’histoire du quartier Université afin de mieux comprendre les différentes transformations de cette partie de Dijon. Conçue par les habitants du quartier eux-mêmes, cette exposition vous propose de découvrir et de redécouvrir les éléments qui composent ce quartier.


Nourrie de documents, de photographies, de films et de témoignages, elle porte sur :

• Une vision d’ensemble
6 cartes historiques

• Le patrimoine industriel
Les grandes et petites industries, Porte Neuve

• Les loisirs
Les équipements sportifs (Parc des sports, CREPS, vélodrome, patinoire…)

• L’eau
Les sources (Fontaine aux Suisses), les points d’eau, les réservoirs (Bocage, Strasbourg), le système hydraulique

• La santé et le savoir
Les hôpitaux (Bocage, Champmaillot, Hyacinthe Vincent), les écoles, l’université

• Le fait religieux
Le séminaire, les églises, les petites soeurs des pauvres

• Le château de Montmuzard

• L’architecture et l’urbanisme

Les styles typiques du quartier, les maisons remarquables ou insolites
Les plans d’aménagement
Les éco-quartiers : Hyacinthe Vincent, Montmuzard
Les lieux "remarquables", insolites (Le creux d’Enfer : origine du nom…)
Les parcs (Parc des Argentières…)
Les lieux de mémoire et de commémoration (Le mur des fusillés, la Croix de Lorraine, la place du 30 octobre…)

• La vie quotidienne
Les commerces
Les activités pastorales
Les déplacements quotidiens
La ferme de Mirande
Le feu d’artifice de Dijon (avant qu’il ne soit tiré au lac Kir)
Les fêtes locales (Kermesses…)

Je vous recommande vivement d'aller voir cette exposition qui se déroulera dans les locaux de Latitude 21 du 26 septembre à fin décembre 2013 aux heures d’ouverture des locaux : du mardi au vendredi de 9 h à 12 h et de 14 h à 18 h et le samedi de 14 h à 19 h.

lundi 23 septembre 2013

Billet du lundi

"Dijon fête la Gastronomie" s'est terminée hier, au lac Kir sous le soleil, avec le "Grand Dèj" des Associations qui a rencontré un large succès.
Les nombreuses initiatives soutenues par la ville de Dijon (Show Gourmand des Restaurateurs de France, Menu des petits Ducs, la Bouffe à Rousseau etc.) ont permis de mettre en avant la Gastronomie et de la rendre accessible au plus grand nombre. Le savoir-faire et la passion des professionnels de la cuisine, restaurateurs, artisans des métiers de bouche et commerçants ont été mis à l'honneur au cours de ces manifestations qui ont animé la vie touristique et commerçante de la ville.
Je tiens à renouveler mes félicitations à tous les bénévoles et professionnels qui se sont mobilisés pour démocratiser la Gastronomie, synonyme de qualité, de convivialité et de fraternité .
En tant que future cité internationale de la Gastronomie, Dijon démontre à nouveau sa capacité à mobiliser et à fédérer autour d'un projet commun : promouvoir le repas gastronomique des Français.

Ce week-end dijonnais a aussi été l'occasion de fêter les 3 ans du commerce "COFFEE NAILS" rue de la Préfecture, d'échanger avec les commerçants des halles de Dijon, d'inaugurer la fresque place Barbe financée grâce au budget participatif de la commission de quartier Montchapet, de fêter les journées portes ouvertes du centre socioculturel de la Fontaine d'Ouche, d'assister au vernissage de l'exposition de Jérémy Laffon intitulé "Collapse(s) et autres systèmes déceptifs" à la galerie Interface et de participer à la soirée de Gala organisée par l'association Sourires et Solidarités d'Afrique salle Devosges pour la construction d'un orphelinat au Cameroun.
Dimanche le centre-ville a été animé par le vide grenier de l'Union des commerçants et artisans de la rue Jeannin et par la brocante autour des halles organisée par le Groupement des Brocanteurs et Antiquaires Bourguignons.
Bravo aux organisateurs de ces manifestations qui participent à l'animation et à l'attractivité de la ville et qui permettent aux dijonnais de flâner et de chiner des objets dans notre belle cité.

mercredi 18 septembre 2013

COMMUNIQUÉ DE PRESSE DE FRANÇOIS REBSAMEN SÉNATEUR-MAIRE DE DIJON, PRÉSIDENT DU GRAND DIJON "LA VÉRITÉ SUR VOS IMPÔTS !"

À l’heure où les Dijonnais, comme les habitants de la Côte-d’Or, reçoivent leurs avis d’imposition pour l’année 2013, je tiens à rétablir avec force une vérité passée sous silence par les médias depuis des mois !


Pour la taxe foncière

Lors de sa session du 29 mars dernier, la majorité du Conseil général de la Côte-d’Or a voté une hausse sans précédent de 12 % de la taxe foncière sur les propriétés bâties qui impacte lourdement le pouvoir d’achat de l’ensemble de nos concitoyens. Les habitants de notre département sont en droit de savoir qu’ils doivent à François Sauvadet et à sa majorité la plus forte augmentation fiscale depuis des décennies !


Il convient de rappeler, qu’en moyenne sur Dijon, la hausse de la taxe foncière atteindra pratiquement 80 € par propriétaire dont 64 € prélevés par le seul département. Concernant les entreprises et personnes morales, le Conseil général prélèvera en moyenne 182 € de plus en 2013 qu'en 2012. La conséquence de cette augmentation fait bondir de 7,3 % la taxe foncière pour un ménage-type par rapport à l’an passé (enquête "Les Echos").
Ainsi, je me dois d’expliquer aux habitants et aux professionnels de l’agglomération dijonnaise, qu’entre 75 et 85 % de la hausse du prélèvement de la TFB entre 2012 et 2013 sont dus au Conseil général de la Côte-d’Or. En 2013, sur une ponction globale supplémentaire de 11 millions d’euros sur les contribuables de l’agglomération, ce sont 8,6 millions d’euros qui seront prélevés par le seul Conseil général.

J’invite d’ailleurs l’ensemble des maires à faire le calcul de cette augmentation dans leur commune afin qu’ils prennent conscience de la charge fiscale supplémentaire qui sera demandée par le Conseil général.
Nous sommes nombreux à avoir fait le choix de ne pas augmenter les impôts dans nos collectivités dans une période difficile économiquement pour les ménages. Alors que la ville de Dijon et le Grand Dijon ont fait les efforts de gestion nécessaires pour limiter l'évolution de leur fiscalité à +1 % pour 2013, il apparaît indispensable de clarifier la situation afin que cette très forte pression fiscale historique du Conseil général, fixée à 12 % je le répète, ne soit pas imputée à nos communes et nos intercommunalités.

Il est vrai que cette augmentation massive des impôts est sans doute rendue nécessaire par une gestion catastrophique de la majorité départementale qui restera comptable, devant nos concitoyens, de ses choix. Ainsi, le magazine Le Point, dans une étude de juin dernier, classe le Conseil général de la Côte-d'Or comme le quatrième département le plus mal géré de France (98ème sur 101).


Pour la taxe d’habitation

Toujours selon la même enquête "Les Echos", je m’étonne que nul ne relève que Dijon propose une des taxes d’habitation parmi les moins chères de France. Sur les 40 plus grandes villes de France hors Paris, Dijon est ainsi la 6ème moins chère, selon ce quotidien, pour un contribuable type imposable.

Dès 2001, la municipalité a choisi d’appliquer les exonérations maximales autorisées par la loi et a strictement respecté son engagement de ne pas augmenter les bases plus que l’inflation pour préserver les ménages et pour plus de justice fiscale.

Alors que toutes les collectivités participent à l’effort national de redressement des dépenses publiques, taxer davantage les ménages relève d’un choix politique que François Sauvadet et sa majorité départementale doivent assumer devant nos concitoyens !

lundi 26 août 2013

LE CIRQUE DE MARIONNETTES - SAMEDI 31 AOÛT 2013 À 15 H ET À 17 H - SQUARE DARCY



À l'initiative de la commission de quartier centre-ville, présidée par Nathalie KOENDERS, adjointe déléguée au cœur de ville, au commerce, à l’artisanat et à la démocratie locale, un spectacle de la compagnie "Intermarionnette", avec l’aimable participation de Murielle de CHÉDEVILLE, ventriloque, et intitulé Le cirque de marionnettes, est proposé aux Dijonnais, petits et grands le samedi 31 août 2013 à 15 h et à 17 h, square Darcy.






Deux représentations gratuites ouvertes à tous dès l’âge de 3 ans pour un spectacle familial qui vous permettra de plonger ou de replonger dans le monde de l’imaginaire et de l’enfance

mardi 30 juillet 2013

TERRASSES DE DIJON : ACCORD ENTRE LA VILLE DE DIJON ET L'UMIH CÔTE-D'OR


COMMUNIQUÉ  DE PRESSE
TERRASSES DE DIJON :
ACCORD ENTRE LA VILLE DE DIJON ET L'UMIH CÔTE-D'OR


Les terrasses, leur accroissement, leur embellissement, sont à l’évidence une source de développement pour quelque 280 restaurateurs dijonnais – la superficie des terrasses a été multipliée par six depuis 2001 - mais aussi pour la municipalité de Dijon en ce sens qu’elles participent à la qualité de vie en ville et à l’attractivité touristique de notre territoire, donc à son rayonnement.

Une position commune vient d’être arrêtée entre François Rebsamen, sénateur-maire de Dijon, représenté par Nathalie Koenders, adjointe au maire en charge du commerce et de l’artisanat, et l’Union des Métiers de l’Industrie Hôtelière (UMIH) de Côte-d’Or, représentée par son président Patrick Jacquier. L’enjeu : le règlement pour l’occupation du domaine public à usage commercial, voté à l’unanimité par le conseil municipal de Dijon le 28 juin 2012. Ce règlement a suscité, depuis son adoption, des débats passionnés, qui trouvent aujourd’hui leur épilogue après de nombreuses réunions de concertation, qui avaient déjà abouti à ce que la mise en application de la réforme soit repoussée à 2013.

Ce qui est acté dans le nouveau règlement

La légitimité de ce nouveau règlement, ainsi que la grille tarifaire qu’il détermine, sont aujourd’hui actées, tant sur le principe de découpage de la ville en 5 secteurs géographiques que sur la reconnaissance de 4 différents types d’aménagement (terrasses "en plein air", "aménagées légères", "aménagées fermées" et "en dur"). Il est aussi acté que la réforme, en réactualisant une réglementation datant de 2003, permet de légaliser les "terrasses aménagées", qui se sont développées sans autorisation depuis l’interdiction du tabac dans les lieux publics édictée par la loi Evin de 2007. Il est enfin acté que les tarifs pratiqués désormais placent Dijon dans la "moyenne" du prix des terrasses dans les agglomérations de taille comparable, pour l'essentiel des exploitants. Les aménagements urbains de grande qualité, menés ces dernières années, justifiant la renégociation avec les cafetiers et les restaurateurs.

Des ajustements avantageux

Toutefois, la crise économique qui frappe l’ensemble du secteur de la restauration française (avec des baisses de chiffres d’affaires atteignant 10 à 30 %) et les conditions météorologiques défavorables - deux facteurs impondérables - ont pénalisé l’activité des établissements. D’autre part, la fréquentation des terrasses sur certains sites récemment réaménagés n’a pas encore atteint le niveau que pouvaient espérer les professionnels. C’est pourquoi la ville de Dijon, à la demande de l’UMIH Côte-d’Or,  a accepté la modification de la sectorisation de certaines rues, sans que ne soit jamais remis en cause le principe d’une classification géographique en 5 catégories. Ainsi la place de la République passe-t-elle entièrement en secteur T2 (au lieu de T1, secteur "majeur"). Les secteurs Mariotte, Saint-Bénigne, Chabot-Charny, le nord de République (Garibaldi, Sluter, Marceau) et Clemenceau sont désormais classés en secteur T3 (au lieu de T2). Les avenues Poincaré, Jean-Jaurès et Drapeau profitent aussi de cet ajustement avantageux. Ce sont ainsi 54 exploitants qui verront leur redevance d’occupation du domaine public à la baisse. Et qui, en outre, vont profiter, par ce simple effet de glissement d’un secteur à un autre,  d’une tarification plus favorable - voire d’une exonération - pour les droits d’installation qui ont été créés à l’occasion du nouveau règlement.

Le montant du droit d’installation revu à la baisse

En effet, la réforme du 28 juin 2012, pour répondre à l’enjeu d’une bonne gestion des deniers publics, a également prévu l’instauration d’un droit d’installation à payer par le créateur/acquéreur de l’établissement si celui-ci est équipé d’une terrasse, afin de mieux tenir compte des avantages retirés par l’utilisation du domaine public.

Une proposition de l’UMIH Côte-d’Or, consistant à créer un droit d’installation dégressif en fonction du nombre d’années d’exploitation de l’établissement par le cédant, s’est heurtée à des obstacles juridiques. Toutefois, la Ville de Dijon, consciente des difficultés économiques mises en avant par l’UMIH Côte-d’Or du secteur des cafés-hôtels-restaurants, a décidé de proposer au conseil municipal de septembre 2013 que soit adoptée une réduction de 30 % de ce droit d'installation aux 215 professionnels concernés.

À la demande de l’UMIH Côte-d’Or,  une charte des terrasses sera finalisée par une commission conjointe entre le syndicat professionnel et les services de la ville, avant le 31 décembre 2013. Elle reprendra l’ensemble des éléments de cette réforme et précisera notamment les aides susceptibles d’être octroyées aux professionnels concernés par l’harmonisation esthétique des terrasses dans certains secteurs. Il est convenu que les représentants de la Ville et de l’UMIH Côte-d’Or se retrouvent dans trois ans pour une évaluation du dispositif et, le cas échéant, une évolution des modalités de son application.

mardi 18 juin 2013

Après-midi "manège gratuit"

Un après-midi "manège gratuit" sera offert aux enfants en difficulté et handicapés par Monique BAILLY, propriétaire du manège place du Bareuzai, en collaboration avec le centre communal d'action sociale de la ville de Dijon.


Cette manifestation se déroulera le :
Mercredi 19 juin 2013 de 14 h 30 à 17 h
Place François Rude - Dijon

Le centre communal d’action sociale a adressé environ 600 tickets à de nombreuses structures dijonnaises : foyer Les Verriers – Adoma - restaurants du cœur – Clos Chauveau – association Manège – CHR Blanqui – Solidarité Femmes – centre social Balzac - centre social des Grésilles - centre social de Fontaine d’Ouche – centre social des Bourroches – service jeunesse (ALSH et centres de loisirs maternels Baudelaire, Champollion, Colombière, Mansart, Marie Noël, Marmuzots) de la ville.

Françoise TENENBAUM, adjointe déléguée à la solidarité, à la santé et aux personnes âgées, Nathalie KOENDERS, adjointe déléguée au commerce, à l'artisanat et à la démocratie locale, et Monique BAILLY seront heureuses d’accueillir la presse à 15 h place François Rude.

dimanche 2 juin 2013

Inauguration d'une fresque au centre-ville dans le cadre des projets liés aux budgets participatifs

François REBSAMEN, sénateur-maire de Dijon, président du Grand Dijon, représenté par Nathalie KOENDERS, adjointe au maire, présidente de la commission de quartier centre-ville, et Colette POPARD, adjointe au maire, présidente du conseil de quartier sud-est, a le plaisir de vous convier à l’inauguration de la fresque réalisée 5 rue Crébillon, dans le cadre des projets liés aux budgets participatifs 2010.


Cette manifestation se déroulera le :
Lundi 3 juin 2013 à 18 h 30
5 rue Crébillon - Dijon


Dans le cadre du dispositif de démocratie participative instauré par la ville de Dijon, des budgets participatifs annuels de 40 000 € ont été alloués à chaque commission de quartier pour des dépenses d'investissement. Ce dispositif implique les membres des commissions dans la vie de leur quartier en leur permettant, grâce à leurs projets ou micro-projets, d'intervenir dans l'aménagement public et le soutien à des initiatives visant à améliorer la vie quotidienne.


La proposition initiale de la commission de quartier centre-ville était de réaliser une fresque rue Crébillon sur deux murs faisant l'objet de tags réguliers.


Par soucis de cohérence et de volonté de respecter le secteur sauvegardé et le patrimoine architectural du centre-ville, l'exécution du projet a été co-gérée par le centre d'art contemporain de Dijon, le Consortium.


C'est l'artiste Marc-Camille CHAIMOWICZ, également professeur à l'école nationale supérieure des beaux-arts de Dijon, qui a été choisi. Plusieurs rendez-vous ont été organisés entre le groupe de travail, composé d'habitants et d'élus, le Consortium et M. CHAIMOWICZ.


L'entreprise de Jean-Philippe GUERRA, maître artisan situé à Dijon, spécialisé dans la restauration, la maçonnerie et le ravalement de façade, s'est chargée du fond de la fresque et l'artiste, assisté par des élèves de l'école des beaux-arts de Dijon, a réalisé les motifs. La peinture a été fournie par la société BARDOT, représentée par Philippe GIRAULT.



Le coût total de l'opération s'élève à 18 000 €. Il comprend les honoraires de l'artiste, la mise en place d'échafaudages avec accès et filet de protection, la préparation de fond et la réalisation de l'œuvre proprement dite. Son financement a été entièrement pris en charge par la commission de quartier centre-ville.

mardi 28 mai 2013

Inauguration du square Roupnel après sa rénovation, réalisée dans le cadre des projets liés aux budgets participatifs de la commission de quartier centre-ville


François REBSAMEN, sénateur-maire de Dijon, président du Grand Dijon, représenté par Nathalie KOENDERS, adjointe au maire, présidente de la commission de quartier centre-ville, et Colette POPARD, adjointe au maire, présidente du conseil de quartier sud-esta le plaisir de vous convier à linauguration du square Roupnel après sa rénovation, réalisée dans le cadre des projets liés aux budgets participatifs 2011.

Cette manifestation se déroulera le :
Mercredi 29 mai 2013 à 18 h
Square Roupnel
Angle de rues de Tivoli et du Chaignot - Dijon


Dans le cadre du dispositif de démocratie participative instauré par la ville de Dijon, des budgets participatifs annuels de 40 000 € ont été alloués à chaque commission de quartier pour des dépenses d'investissement. Ce dispositif implique les membres des commissions dans la vie de leur quartier en leur permettant, grâce à leurs projets ou micro-projets, d'intervenir dans l'aménagement public et le soutien à des initiatives visant à améliorer la vie quotidienne.

Le groupe de travail de la commission de quartier centre-ville s'était réuni afin de réfléchir à la rénovation du square Roupnel. Ses préconisations ont ensuite été suives par une étude du service des espaces verts de la ville de Dijon afin de tranquilliser le square et d'améliorer la visibilité depuis l'extérieur en enlevant des clôtures et le banc en demi-cercle en béton.

Le groupe de travail avait également souhaité enlever le bac à sable sous le jeu pour enfants et le remplacer par un sol souple.

Ainsi, une nouvelle aire de jeux a été installée avec un jouet sur ressorts sur un sol souple et sécurisé par une barrière ajourée et colorée.
Le coût total de l'opération qui comprend également la réfection des circulations et le décaissement des bordures s'élèvent à 30 801 euros.

jeudi 16 mai 2013

Réaction au communiqué de presse de l'UMIH sur les terrasses

Je tenais à réagir au communiqué de presse de l'UMIH (Union des Métiers et des Industries de l'Hôtellerie de Côte d'Or) qui vient de paraître aujourd'hui.

L'UMIH, qui est un syndicat, est dans son rôle lorsqu'il défend ses adhérents mais je trouve qu'ils sont allés un peu fort dans ce communiqué.
En effet, puisque j'ai été mise en cause personnellement, je suis partagée entre un petit peu de colère et ma volonté de continuer d'avancer, comme toujours, dans le dialogue avec les professionnels et l'explication de ce nouveau règlement - voté à l'unanimité lors du conseil municipal du 28 juin 2012, je tiens à le rappeler - qui tend à plus d'équité et à une meilleure gestion des deniers publics.

Si, comme le dit l'UMIH, il s'agit de "racket" - mot à la limite de la correction quand on parle de la gestion  d'une ville comme Dijon - je rappelle que personne n'est obligé d'avoir une terrasse. Et qu'à ce jour, aucun restaurateur ni cafetier nous a demandé le retrait de sa terrasse. Je tiens même à souligner que beaucoup d'entre eux me demandent aujourd'hui d'avoir encore plus de superficie malgré la hausse de la redevance.

De plus, les chiffres avancés par l'UMIH lors de cette conférence de presse sont tous erronés et je rappelle que pour 85% des cafetiers restaurateurs de Dijon l'augmentation est raisonnable (Lire le communiqué de presse : http://nathaliekoenders.blogspot.fr/2013/04/terrasses-dijon-la-nouvelle-donne_8.html)

L'intérêt particulier de certains ne fait pas l'intérêt collectif de tous les cafetiers et restaurateurs qui sont nombreux à comprendre les enjeux de cette réforme.

jeudi 2 mai 2013

"Quinzaine du commerce équitable".


Comme chaque année, Dijon apporte son concours à la "Quinzaine du commerce équitable". Du 4 au 19 mai 2013, plusieurs animations seront proposées dans la ville grâce à la mobilisation de l’ensemble des acteurs du commerce équitable à Dijon.

François REBSAMEN, sénateur-maire de Dijon, président du Grand Dijon, représenté par Nelly Metge, adjointe déléguée à l’insertion, à la formation et à l’économie solidaire, et Nathalie KOENDERS, adjointe déléguée au commerce, à l’artisanat et à la démocratie locale, chargée du projet "cœur de ville", a le plaisir de vous convier au lancement de la "Quinzaine du commerce équitable" et de la collecte de produits biologiques et équitables, le :

Vendredi 3 mai 2013 à 12h30

Salle d'attente des mariages

Hôtel de ville - Dijon 

Le commerce équitable propose une alternative aux règles du commerce mondial. En effet, la libéralisation des échanges ne bénéficie pas aux plus vulnérables et ne permet pas de répondre aux grands enjeux de société que sont la souveraineté alimentaire, la réduction de la pauvreté et la préservation des ressources naturelles.


Ce modèle ne concerne pas uniquement les pays en développement mais l’ensemble de la planète. Il nous montre aujourd’hui clairement ses limites. Face à ces défis, des efforts sont réalisés à Dijon tout au long de l’année afin soutenir les commerces de proximité, les circuits courts, la production biologique, le commerce équitable et plus largement l’économie sociale et solidaire.

Cet engagement a notamment permis à la ville de Dijon de recevoir en 2009 puis en 2012 le titre de "Territoire de commerce équitable".

 Plus particulièrement, une collecte de produits bio et équitables sera organisée pour la seconde année consécutive à Dijon afin de promouvoir un nouveau regard sur l'équitable, bénéficiant à tous les publics et notamment aux plus démunis.

 Cette initiative, qui fait appel à la générosité du grand public, est organisée en partenariat avec la banque alimentaire de Bourgogne, le CCAS de la ville de Dijon, Artisans du Monde – Dijon, le groupe ESC Dijon et Unis'Cités.

Le principe est simple et accessible à tous : acheter un produit équitable dans l'un des 17 magasins participants diffusant des produits biologiques ou issus du commerce équitable à Dijon et le remettre dans l’un des paniers déposés. Ces produits seront ensuite distribués aux résidents des deux résidences sociales de la ville (Abrioux et Viardot).

Un panier, ainsi qu'une affiche et des tracts réalisés par la ville de Dijon, seront mis à disposition de chaque commerçant. Chaque soir, les produits collectés seront rangés. Le ramassage des produits par la banque alimentaire de Bourgogne se fera du 21 au 24 mai 2013. La remise officielle des produits collectés aura lieu le jeudi 30 mai 2013 à 8 h 30 à la résidence Viardot – 1 rue Louis Viardot en présence de tous les partenaires.

lundi 15 avril 2013

Remise des primes du Secteur Sauvegardé et du prix de la vitrine

La  remise des primes du secteur sauvegardé aux commerçants et aux particuliers, et du prix de la vitrine par le Sénateur Maire François Rebsamen aura lieu ce soir à 18h salle des Etats de l'Hôtel de ville

Chaque année, la municipalité attribue des primes destinées à récompenser les particuliers et les commerçants qui ont contribué, par leurs travaux, à mettre en valeur le patrimoine de la ville.

 Depuis 2001, 86 primes pour restaurations d’immeubles et 88 primes pour les créations d’enseignes ont été attribuées.

 Au cours de cette manifestation et pour la 2ème fois, la ville de Dijon remettra également le prix de la plus belle vitrine et huit commerçants recevront un diplôme. Avec la création de ce prix, dans le cadre du programme Cœur de ville, la municipalité tient à féliciter les commerçants qui ont compris qu’une belle vitrine est un véritable enjeu pour l'attractivité, souhaitant aussi encourager les autres dans cette voie.

 Car si l’étude Cœur de ville, en juin 2010, faisait ressortir que la fréquentation des plus de 1 200 commerces du centre-ville était importante, il n’en restait pas moins que les chalands fréquentaient le centre-ville pour de multiples motivations (promenades, loisirs, démarches administratives) et pas essentiellement pour des achats (62 % d’acheteurs pour un niveau classique de 80 %). Il était donc nécessaire d’augmenter l'attractivité commerciale et la vitrine en est le premier levier.

Dès 2014, quelques mois après la piétonnisation de la rue de la Liberté qui va encore favoriser l’attractivité du centre-ville, la ville de Dijon va dérouler un FISAC (Fonds d'intervention pour les services, l'artisanat et le commerce) centre-ville qui accompagnera les commerçants qui souhaiteront s’inscrire dans cette démarche de qualité.
Vous trouverez la liste des lauréats sur le lien suivant : http://nathaliekoenders.blogspot.fr/2013/03/remise-des-prix-du-secteur-sauvegarde.html

lundi 8 avril 2013

Terrasses à Dijon : la nouvelle donne

Le nouveau règlement pour l’occupation du domaine public à usage commercial, voté - à l’unanimité ( !) - par le conseil municipal de Dijon le 28 juin 2012, fait semble-t-il couler encore beaucoup d’encre aujourd’hui. Loin de la tentative d’instrumentalisation politique dont ce dossier a pu récemment faire l’objet, je tiens à préciser les objectifs d’une réforme que je prétends juste, mais qui suscite des débats passionnés parce qu’elle touche nos terrasses de cafés et nos restaurants. En substance, il s’agit d’encadrer, sans l’entraver, le développement de ces lieux de convivialité dont la superficie a été multipliée par six depuis 2001! A l’évidence, pour répondre aux Cassandre qui, élus du côté de Salives ou de Saint-Romain, n’ont pas plus d’une seule terrasse à gérer, nos 281 terrasses (pas plus que les nombreux emplois qu’elles génèrent) ne sont pas en danger.


Il convient avant tout de rappeler que le règlement de la Ville de Dijon concernant les terrasses datait de 2003. Il n’était plus adapté aux usages. Pour preuve, l'ancien règlement interdisait « toute terrasse aménagée », alors que, depuis la loi Evin sur le tabac de 2007, ces terrasses se sont largement développées dans la ville avec des aménagements dits « légers » (mais interdits) mais aussi avec des séparations « en dur » (parfois de vrais planchers couverts d’une structure permanente) qui les ont transformées en véritables salles annexes. Nous recensons aujourd'hui une trentaine de terrasses installées de ce type, sans autorisation donc illégales ! Plutôt que de les faire démonter, le maire a souhaité que soit étudiée la manière dont elles pouvaient être régularisées. Le nouveau règlement autorise donc les terrasses aménagées. Autrement dit, nous rendons légal ce qui était illégal à 100% ! C'est un point rassurant pour les exploitants qui conserveront ces espaces qu'ils utilisent toute l'année.

Alors bien sûr, comme la loi nous y oblige à travers le principe qu’une redevance doit prendre en compte « l’avantage retiré par l’occupant » (Code Général de la Propriété des Personnes Publiques), nous avons reconsidéré les tarifs existants, en intégrant notamment la notion de rentabilité de l'occupation. Cela a entraîné la création de 5 secteurs géographiques, dont un « secteur majeur » où les investissements et équipements de la ville (piétonisation, proximité du tram, etc.) lui donnent une attractivité exceptionnelle. Qui peut nier que l’embellissement de certains espaces du coeur de ville génère des chiffres d’affaires autrement plus conséquents que ceux réalisés auparavant… Du coup, lors de la revente des fonds de commerce, la valeur du café ou du restaurant se trouve nettement accrue du fait même de la présence d’une terrasse. Cette nouvelle grille tarifaire colle au plus juste entre la facturation au m² et sa rentabilité. A noter que le tarif le plus élevé ne concerne que 6% des exploitants des terrasses et que les deux tarifs des secteurs les plus éloignés du centre ville ont été diminués de 10% pour soutenir les « cafés de quartier ».

Le changement est effectivement plus important pour le tour des Halles qui bénéficiait jusqu'à présent d'un tarif particulier au mètre linéaire que nous avons passé - au diapason du reste de la ville - au m². A noter également que c'est dans ce secteur que nous avons les plus grandes terrasses (+45% comparé à la moyenne de la ville) et c'est aussi sur ce site que nous avons le plus de terrasses « aménagées fermées » (18 pour 33 sur le reste de la ville).

Pour résumer, et dans un souci d’équité entre les commerçants, les règles et les tarifs en vigueur dépendent désormais de la nature et de l’emplacement de la terrasse. Selon qu’elle est plein air, construite en dur ou partiellement en dur, le propriétaire n’acquittera pas la même redevance. Même raisonnement selon que la terrasse se situe sur une place « prestigieuse », dans le centre historique, ou dans un quartier excentré… C’est ainsi que la redevance peut varier entre 30 euros et 360 euros le mètre carré par an, étant précisé que 75% des établissements ne voient pas l’augmentation de leur tarif dépasser les 45%. On est loin des 500 à 600% d’augmentation qui sont parfois évoqués alors que cela ne concerne que quatre établissements qui jouissaient jusque là de tarifs exceptionnellement bas. Comment imaginer qu’un établissement place François Rude avec une terrasse de 95 m2 en partie aménagée fermée ne payait jusqu’à présent que 2118 euros par an, soit 22 euros le m2 en plein cœur de ville !

Nous avons été à l’écoute des professionnels du secteur, à tel point que l’application de la nouvelle grille tarifaire a été reportée d’un an ou que nous avons su procéder à plusieurs ajustements quant aux périmètres géographiques de sa mise en œuvre afin de « déclasser » certaines rues pour qu’elles passent dans la catégorie tarifaire inférieure. Je l’affirme : depuis le 28 juin 2012, sur la base du projet et des principes approuvés par le conseil municipal, nous n’avons eu de cesse de concerter. De façon officielle à travers plusieurs réunions avec les représentants de l’Union des métiers et industries de l’hôtellerie (Umih). Mais aussi parce que, depuis des mois, il ne se passe pas un jour où nous ne dialoguons pas, au cas par cas, avec les gérants des commerces potentiellement impactés par une réforme qui tend à une meilleure gestion de l’occupation du domaine public, donc des deniers publics et c’est l’ensemble des Dijonnais qui nous en remercieront, sans pour autant ne pas tenir compte des capacités financières des restaurateurs dont la terrasse constitue le plus souvent le principal atout de la rentabilité (et du prix de revente) de leur établissement.



Nathalie Koenders
Adjointe au Maire de Dijon déléguée au Commerce, à l’Artisanat et à la Démocratie Locale.