mercredi 30 novembre 2011

Dijon dans Vingt Ans

Je vous invite à lire l'article du "Dijon MAG" du mois de novembre 2011 sur la projection du centre-ville de Dijon dans 20 ans...


DONNONS UN AVENIR À NOTRE HISTOIRE ! VILLE DE PATRIMOINE
PAR EXCELLENCE, DIJON SAIT AUSSI, AU JOUR LE JOUR, INVENTER ET
SE RÉINVENTER. ÉLUS, TECHNICIENS ET ARCHITECTES SE SONT PROJETÉS
À VINGT ANS. ENTRE RÉALISATIONS EN COURS ET EXTRAPOLATIONS UTOPISTES,
TOUS NOUS DÉVOILENT LE DIJON DE DEMAIN. VISIONS RÉALISTES, CONCRÈTES OU IMPROBABLES, PLONGEZ AU COEUR DE LA VILLE FUTURE


DU CENTRE-VILLE LE COEUR BATTANT AUTOUR DE COMMERCES MODERNISÉS ET D’UNE ZONE PIÉTONNE ACCRUE, LE COEUR DE VILLE IRRIGUERA MIEUX ENCORE LA CAPITALE RÉGIONALE


S’il est un lieu en permanente mutation et qui attise les passions, c’est
bien le centre-ville et ses commerces. Rien n’est plus simple que de fermer ou d’ouvrir une cellule commerciale. Depuis quelques années, les municipalités,
de par le monde, ont repris la main concernant leurs territoires, et ce sont elles qui décident en grande partie comment sont configurées les zones urbaines, en favorisant ou en décourageant l’installation de certaines activités.
Dijon n’échappe pas à la règle, et compte bien jouer ce rôle de régulateur au profit des habitants, des commerçants, des touristes, d’une conscience écologique et du développement durable. À terme, la piétonnisation sera accrue, les vélos plus présents, les transports en commun (tramway et bus) encore plus développés. L’acte
d’achat sera alors lié au plaisir de se promener et de flâner. Cela sera rendu possible grâce au déploiement des parkings-relais, qui irrigueront le centre.
Les commerçants auront tous un site Internet qui augmentera leur visibilité. La boutique sera ainsi ouverte 24 h/24, pour découvrir les produits avant de venir les essayer ou les chercher en magasin.

BESOIN DE PROXIMITÉ
Pour autant, le centre-ville ne sera pas vidé de ses commerces, car les consommateurs ont de plus en plus besoin de proximité, de services et de conseils, explique Nathalie Koenders, adjointe au coeur de ville, au commerce et à l’artisanat. Internet n’est pas forcément une concurrence, mais peut être considéré comme un complément, une vitrine ouverte en permanence. Et les services évolueront en fonction : J’aimerais que se développent les parkings-relais, les consignes, ou encore les offres de livraison des courses. Les achats effectués dans la journée seraient regroupés et disponibles près de sa voiture, le soir. Les écoquartiers, qui seront forcément périphériques, pourront héberger des types de commerces différents.
Le sort des commerces sera lié à l’évolution de la population ; la municipalité devra faciliter la création de logements et accroître le pouvoir d’attractivité de la ville.

Téléchargez le Dijon Mag n°240 du mois novembre 2011.

Aucun commentaire: